Des rebondissements de plus belle!

L’affaire de Taghazoute Bay qui vient de défrayer la chronique, sur instructions du Souverain, continue à ébranler de plus belle, l’opinion publique régionale voire nationale.

Selon les informations collectées, de sources bien informées, il s’avère que les infractions urbanistiques ne s’arrêteront pas à ce niveau, mais se seraient certainement aggravées, au fur et à mesure que les enquêtes avancent.

La Haute commission chargée de cette besogne, sur directive royale aurait, croit-on savoir, une audience, demain 18 février, avec un opérateur hôtelier renommée dont la chaîne Tikida n’est plus à démontrer, pour mettre au clair son fameux joyau sur la station.

Il va sans dire, en fait, que les anomalies qui entachent presque la totalité du projet ne sont plus un secret pour personne. Sur les 52 villas du richissime du bercail, on comptera pas moins de 24 qui étaient réduites en décombres, jusqu’à présent, déjà acquises au dernier centime par des acheteurs dont un homme d’affaires d’un grandissime promoteur, ayant tiré sa révérence.

Les tentacules des engins ne cesseront de vrombir, à mesure que les faussetés apparaissent. D’autres sources confirment que cela ne fait que commencer puisque nombre d’édifices ont empiété sur des le domaine public, sans parler de la finition qui laisse à désirer et des coûts d’unités hyper astronomiques.

Pour des constructions qui auraient «échappé» à la vigilance de la Haute commission, seraient soumises à l’appréciation du Monarque. L’intransigeance royale qui avait déjà réprimandé tous les grabuges en termes d’urbanisme, serait encore de mise pour le rapport final. Il n’y aurait sans doute plus de place à toutes les réalisations qui n’auraient pas respecté les plans initiaux des maquettes. Plus aucun mètre de surplus n’aurait été admis dans cette mascarade ! A ce moment là, la station Taghazoute Bay serait bye bye ! On est aussi tenté de dire que si les choses ont eu des tournures aussi scandaleuses, on se demandera sur les raisons qui ont incité à fermer l’œil, bien avant l’entame des constructions.

Les Caïds d’Aourir, relevant des autorités locales de la préfecture d’Agadir Ida Outanane, ont passé sous silence toutes ces infractions qui gangrènent aujourd’hui, soit par peur de s’attirer des ennuis face à des contrevenants influents, ou par complicité soudoyées. En tous cas, le scandale est bien là et ne saurait être caché par un tamis. Dans ce genre de comportement, l’intransigeance devrait être de mise!

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