A l’heure du développement de l’Internet et des réseaux sociaux, d’aucuns profitent de l’outil technologique pour déverser mensonges et accusations fallacieuses pour parvenir à leurs fins égoïstes.

C’est le cas d’une vidéo diffusée par certains «journaux» électroniques et sur certains réseaux sociaux, en liaison avec le nouveau centre de soins de santé primaires «Mellah» à Marrakech.

Selon un démenti, rendu public par le Ministère de la Santé, ladite vidéo contient des «informations» tendancieuses sur le projet inauguré la semaine dernière.

Ainsi, le ministère dénonce «vigoureusement» ce genre «d’agissements irresponsables», affirmant qu’il se réserve «le droit que lui garantit la loi de poursuivre en justice la personne qui a réalisé cette vidéo… pour faire cesser ce genre d’allégations dénuées de tout fondement et mettre un terme à ces agissements non justifiées».

Face à de tels procédés, il est clair que le commun des mortels n’est pas outillé, et encore moins immunisé,  pour discerner l’information vraie et donc vérifiée et recoupée, comme le veut la déontologie journalistique.

Il va falloir développer le réflexe qui pousse à ne pas croire n’importe quoi.

Car souvent, les initiateurs et créateurs de «fausses informations» le font pour se prouver une certaine supériorité «intellectuelle» afin d’amener les citoyennes et les citoyens à croire en tout ce qu’ils leur disent mais à prendre pour mensonges tout ce que les institutionnels disent ou font. Et donc c’est la théorie du complot que ces énergumènes cultivent et voient partout.

In fine, l’esprit critique doit être de rigueur pour démêler le vrai du faux, comme partout dans la vie…

M. khalil