L’université Ibn Zohr d’Agadir face à la discorde!

Encore une fois, on évoquera l’élan ascendant au sein de l’université Ibn Zohr qui renferme les cinq régions du sud marocain. Les établissements universitaires qui jalonnent nombre de provinces de plus de la moitié du territoire national et dont la majorité siège à Agadir, réalisent, en fait, de réelles révolutions, en termes d’optimisation des apprentissages, de rehaussement du niveau d’activités scientifiques, culturelles et créatives, de relèvement de l’esprit synergique entre diverses parties et de mise en valeur du cadre de travail.

A ce propos, on citera, sans aucun doute, la métamorphose saillante que subit, ces derniers temps, la faculté des lettres et sciences humaines, sous l’impulsion du nouveau décanat, en parfaite harmonie avec la présidence. Sauf des renégats et récalcitrants, nul ne saurait contredire cette dynamique tonitruante dont les incidences directes ne se font pas attendre au niveau du relationnel en parfaite cohésion plurielle et surtout des prouesses estudiantines dont les multiples consécrations, aussi bien à l’échelon national qu’étranger, avec l’appui probant de leurs enseignants, fusent de toutes parts.

Seulement voilà, ces performances qui ne souffrent d’aucune contestation et dont les mérites ne sont pas un secret pour personne, font éclater de rage certains troubles-fêtes. En effet, au cœur de toute cette impulsion féconde, se meut un petit malin à obédience d’extrême « islamisme » dont les antécédents nocifs sont connus de toutes les constituantes de l’université. Il semble bien que tout ce qui se fait de bon, le met dans un état second, l’incite à verser dans les bévues et, finalement, en devient la risée de tout le monde. Tout en se croyant au-dessus des règlements en vigueur, de par son titre syndical, il se met, en fin de compte, bien en deçà des rôle et mission dont il est en charge. Le désir farouche de se faire élire dans des postes représentatifs de gestion interne, lui joue de vilains tours personnel et vindicatif à l’égard des dirigeants hiérarchiques de l’université et de la faculté où il exerce, au point de vouloir à tout prix s’attribuer ces tâches ou « casser la baraque »!

L’obscurantisme béat ne lui fait qu’attiser ces conduites revanchardes, à mesure que ces attitudes néfastes se soldent par des échecs cuisants. Se mettant constamment à côté de la plaque, il se range, sans scrupule, du côté d’un enseignant dont le dossier disciplinaire est gros comme ça. Il prend alors sa défense en vue de se faire une nouvelle image de « solidarité » sournoise, dans l’enceinte de l’université. Cependant, on n’est pas sans savoir que le client en question  s’expose à une situation fort délicate, consécutive à ses agissements de refus d’un tas d’obligations d’ordre professionnel et pédagogique. Le mis en cause encourt, en fait, le verdict des commissions scientifique et paritaire que le ministère de tutelle validerait dans les jours qui viennent. Face à ces irrégularités disciplinaires, le fameux intégriste, sous l’obsession de la vengeance contre ceux qu’il estime ses bourreaux éternels, s’érige en « avocat du diable » pour une cause absurde, en émettant des écrits, appelant à des mouvements sans aucun effet sur le parcours de l’université et tentant de semer en vain, la discorde malveillante.

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