Le polisario a perdu le nord. Sa fameuse thèse s’est complètement effritée. Ses commanditaires n’ont plus rien à «vendre» au monde. Diplomatiquement, les trébuchements se multiplient. Politiquement, c’est désormais la dégringolade totale. Militairement, l’entité n’existe que dans le virtuel et les médias qui lui servent de caisses de résonances. Sur le plan humanitaire, le massacre…