L’avenir de la «Francophonie» aurait-il été sacrifié au nom de l’attractivité «du gain» ? Pas plus tard qu’en mars dernier, le président français soulignait à Ouaga que l’Afrique est l’avenir de la langue française, avec 750 millions de locuteurs prévus d’ici 2050. Ce qui sous-entendait investir davantage dans cette population, notamment sa jeunesse. L’annonce de son…