Après son élection du Raja de Casablanca lors de la récente assemblée générale du club, le nouveau président Jaouad Ziyat n’a pas beaucoup attendu pour faire le choix de son équipe dirigeante.
Les nouveaux dirigeants du Raja sont au nombre de 16 appelés à travailler main dans la main pour faire un nouveau départ et remettre le club des Verts sur les rails. La brochette de ces dirigeants, nouveaux et anciens, autour du chef Jaouad Ziyat président directeur général d’Injaz Holding, se compose des adjoints de la direction à savoir : Mehdi Belghiti (premier vice-président) qui est membre du directoire du groupe Taqa Maroc et Rachid Andaloussi (second vice-président) qui est président de Casa Mémoire et un des architectes les plus reconnus du Maroc.
Les autres membres du bureau du Raja sont : Anis Mahfoud (secrétaire général) qui est avocat de formation. Nawal El Aidaoui une spécialiste communication et Marketing et une des rares femmes dans la gestion du football au Maroc. Imad Haddour DG de ValuePass Consulting et Ahmed Machkour directeur général adjoint d’Univers Acier.
A la tête des conseillers, on retrouve Salim Cheikh, directeur général de 2M, Hassan Bahej, PDG d’IBM Maroc, Adil Karim, DG de Reed Exhibition Morocco, Amine Laaouidi, directeur des ressources humaines Eagle Hills, Mohamed Arssi, professeur en traumatologie, Saïd Ouahbi gérant système graphique, Adil Karim, directeur général RED exhibition Morocco, Ibrahim Coukri, homme d’affaires…
A signaler que d’autres dirigeants sont de retour à l’image de Rachid Boussiri et Mustapha Dahnane qui, en compagnie de Rachid Andaloussi, avaient été membres au sein différents comités des Verts menés par d’anciens présidents tels Abdeslam Hanat qui est toujours là ou M’hammed Aouzal qui a bien tenu le volant du comité provisoire ayant succédé aux équipes de Said Hasbane et avant lui Mohamed Boudrika, deux personnes accusées de tous les maux dont a souffert le club tout au long des dernières saisons.
Avec ses nouveaux dirigeants, le Raja d’aujourd’hui devra tirer les leçons qui s’imposent et ne pas mettre les yeux sur le rétroviseur. Il devra voir devant dans l’espoir de récupérer le temps perdu et renouer avec les sacres qui lui ont fait défaut au championnat national mais aussi à l’échelon continental. Surtout que les Verts jouent cette saison sur quatre fronts, Botola et Coupe du Trône mais aussi la Coupe arabe et la Coupe d’Afrique de la CAF où il est proche de la qualification en finale et du sacre en compagnie de son coach espagnol Juan Carlos Garrido et d’un fin technicien de la boite, Fathi Jamal qui est également de retour pour redonner à son club son charisme de véritable pépinière des jeunes joueurs prometteurs.
Alors place au travail…
Rachid Lebchir