Un Roi sur le toit du monde !

Une soirée mémorable que celle vécue par le Maroc, Monarchie et Peuple, par le biais de la distinction magistrale décernée à son Roi, par la plus haute instance sportive mondiale à Kigali, capitale d’une nation révélatrice du génie africain qu’est le Rwanda ! De bout en bout, ce moment de plébiscite Royal faisait la fierté de toute la communauté marocaine, à travers son Monarque, hissé au summum de la gloire planétaire. Après Ses vingt ans de Règne pédantesque, Il entamait la décennie suivante dans la même cadence ascendante, érigeant Son pays dans la cour des grands, au regard des générations de réformes qu’Il ne cesse de produire, en termes de croissance développementale dont les infrastructures des sports, tous azimuts. Ce fut un réel plaisir de se voir encenser dans le Grand Oral des décideurs du football mondial, en filigrane de la projection des prouesses marocaines et de se faire aduler, à l’issue des performances au Qatar. Aussi bien Gianni Infantino, patron de la FIFA que Patrice Motsepe, président de la CAF ou encore Paul Kagame, chef de l’Etat  Rwandaise, le flot de propos élogieux envers le Roi et le Peuple ruisselait d’hilarité toute une Nation marocaine pétillante de lauriers et, par la même occasion, sonnait le glas des détracteurs tant endogènes qu’exogènes de leur territoire unifié et souverain. Et lorsque le message royal passait en revue toute cette nouvelle Révolution du Roi et du Peuple, des lustres durant, il mettait en valeur, une fois encore, l’alliance indéfectible qui cimentait, depuis toujours, les entités africaines vers un continent fort, libre et performant, tel qu’il fut exprimé lors de la réintégration du Maroc au bercail de l’Union Africaine, le 30 janvier 2017, après une éclipse forcée, depuis 1984, en protestation contre l’admission loufoque des séparatistes en son sein. Cette missive à connotation seigneuriale émanant d’un Roi, universellement reconnu pour Ses augustes actes plausibles de coopération Sud-Sud, Ses actions éprises de tolérance et Ses activités vitales de la paix humaniste, annonçaient non sans solennité, la décision du royaume de se présenter en candidat de l’organisation de la coupe du monde 2030, en compagnie des États ibères nord-frontaliers, en l’occurrence l’Espagne et le Portugal. En fait, l’universalité et l’ingéniosité de cette démarche réside, en la vision judicieuse de s’ouvrir également sur la proximité et l’efficience de l’Europe et de la Méditerranée, tout en confortant comme il se doit les passerelles d’interchangeabilités avec les contrées africaines, loin de toute animosité intestine voire assassine. C’est là, l’enseignement suprême de la candidature, au-delà de quelconque calcul hégémonique et sectaire, brandi par les renégats inavoués de la région !                                        

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