Une métropole qui resplendit !

Où en sont les travaux du fabuleux Programme de Développement Urbain (PDU) d’Agadir ?Après un peu plus du mi-chemin du trajet (2020-2024), les multiples projets prévus pour cette éléphantesque ébauche montrent le bout du nez, d’autres au fur et à mesure sont déjà clés en mains. Progressivement, la ville fait sa mue, au grand bonheur des citoyens, quoi qu’actuellement, les désagréments causés par les chantiers, sens dessus-dessous, battent leur plein. Une cité flambant neuf, s’offre à nos yeux, au fil du temps,au petit trot, mais à des allures sûres, pareil à un rucher d’abeilles dont la reine répartit à merveille les tâches assignées. On y met du cœur et du métier, un peu partout dans les  tranchées de la manœuvre marquée de corpulence mais également d’opulence à la fois en exubérance et embonpoint. Il n’y a pas de secret à cette quintessence de haute pompe si l’on sait que le pilotage et la bienveillance sont constamment de mise au plus infime de l’effort déployé dans tel ou tel ouvrage de la constellation d’édifices en échafaudage. Une telle minutie est à coup sûr, porteuse de vitalité et de performance,au point de prétendre, comme le désire ardemment le Souverain, à la Centralité métropolitaine. Il ne serait pas non plus exclu que ce gigantisme occasionne un dépassement somme toute logique, en matière de fonds prévus et de délais impartis, puisque l’entame des constructions coïncidait avec la recrudescence épidémique, avec ce que la crise virale engendrait de pertes et de contraintes, tout au long des années 2020 et 2021. Toutefois, il importerait de mettre en valeur l’assiduité, la doigté et surtout la citoyenneté des divers bâtisseurs que sont les partenaires, fort  intégrés dans un fastueux conglomérat,dans le but de glorifier en apothéose le vœu Royal d’envergure et de subvenir aux besoins des populations, en quête de bien-être et de qui étude . Aujourd’hui, l’ambition grandit, face à ce déclic qui ragaillardit toutes énergies enfouies, après tant de décennies d’inertie et de morosité maussades, tel que disait la maxime familière :«L’appétit vient en mangeant !». A présent, on s’apprête à s’attaquer à l’un des points lugubres de la ville qu’est le Centre Hospitalier Régional Hassan II qui se trouve dans un état désolant. Un plan Marshall est en place afin de débroussailler ce patrimoine légendaire et l’ériger en fleuron pimpant, en parfaite complémentarité avec l’incessante réalisation du CHU qui ornerait le bouquet du pôle sanitaire avec ce joyau sémillant. De même, on se rabattra avec hardiesse sur le port de la ville qui s’invite à un réel réaménagement de fond en comble, en vue de,non seulement étendre l’activité portuaire, mais aussi, libérer une fenêtre salutaire sur la partie Nord du prolongement de la destination balnéaire, à travers des sites novateurs, joignant l’utile à l’agréable. Dans la lignée de cette embellie à moult facettes qui s’instaure suavement parmi les départements clés de la ville, on croit bien savoir que l’aéroport serait l’objet d’une extension magistrale pour qu’il réponde aux exigences de la renaissance future du secteur touristique qui paraît se redonner des ailes après en avoir battu, par le biais de la réouverture progressive d’hôtels à l’arrêt,la dynamisation de l’attractivité aéroportuaire et la mise à neuf de la territorialité de la ville. L’avenir ne serait sans nul doute, que resplendissant pour une cité qui rayonne de jour en jour !

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