Le clin d’œil du Royaume Uni!

Le retrait du Royaume-Uni de l’Union Européenne incite le pays saxon à se repositionner sur l’échiquier mondial, par le biais de nouvelles reconquêtes.

Depuis la séparation, il s’ingénie à s’ouvrir sur d’autres cieux pour se ragaillardir son économie, à plus d’un titre. Sans nul doute, il s’attelle à repenser ses propres repères afin de rebondir, sans trop compter sur ses anciens partenaires dont il se garde de maintenir, tout de même, le cordon ombilical du vieux continent. Il tente alors de combler, petit à petit, son manque à gagner occasionné par le Brexit. Visiblement, il se rabat sur de nouvelles alliances commerciales, hors du camp européen pour revigorer les échanges et fortifier les rétributions.

Notre pays semble un allié de marque à conclure des opportunités d’affaires. D’autant plus que le Maroc, de par sa position stratégique privilégiée est de nature à tendre des passerelles de transition pour le marché africain, en termes d’investissements. De même, il inspire toujours confiance en ce sens qu’il requiert la stabilité susceptible de rassurer les alliances.

De surcroît, notre pays renferme des atouts de haute facture, confortés ces vingt dernières années, à travers diverses réformes, en matière de projets socio-économiques et infrastrurels. A cet égard, il présente désormais, tout le potentiel en mesure de drainer le flux de délocalisation des entreprises du pays de la Tamise en direction de notre pays.

Les rapports entre les deux pays, en deçà des attentes mutuelles, seraient à coup sûr, en état de floraison, par ce rapprochement en crescendo, par le truchement de l’accord ratifié pour la constance des réciprocités win win.

En fait, les deux partenaires qui sont en passe de sceller ces démarches de promotion des acquis ont, de plus en plus, l’intention de conclure une zone de libre-échange conjointement mise à profit. La place de choix qu’occupe notre pays, au plan géographique, en plus de son attitude fort empreinte de concorde et de coopération dans le continent africain, motive pleinement un pays de haute expertise en termes de technologie, tel que le Royaume Uni à se lancer dans cette direction.

L’objectif est clair comme l’eau de roche : il s’agirait de consolider les rapports d’échanges, tout en assurant de la visibilité aux potentialités du pays pour attirer des investissements et persuader sur la qualité du produit national. Toutes les négociations dans ce sens seront abordées, dès que les frontières seront rouvertes, après la crise pandémique. Nombreux sont les secteurs qui seront abordés, comme le tourisme qui est en souffrance et dont les opportunités paraissent en tord en vue.

Le marché anglais se développe constamment avant la crise mais pourrait fleurir davantage, si l’on sait que les britanniques ont toujours un faible pour le balnéaire en soleil, vu leur grisaille de canard. Du pain sur la planche pour l’Office National Marocain du Tourisme pour saisir cette aubaine ! Le Maroc a tout à gagner par cette diversification de marchés émetteurs qui le mettraient en position de choix dans le registre planétaire.

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