L’état maladif du régime d’Alger

La junte algérienne perd le nord et en veut éperdument à son voisin/ennemi juré depuis des lustres. Il ne passe pas un seul jour sans qu’elle ne fomente une calomnie éhontée ou colporte un propos mensonger à l’encontre de celui qui constitue désormais une entorse au fond de sa gorge asphyxiée. Récemment encore, au cours de la conférence du réseau parlementaire du mouvement des États non alignés, tenue à Manama au Bahreïn, elle n’a pas eu de cesse de dénigrer le royaume par une batterie de diffamations immondes qui n’ont rien avoir avec la réalité de notre pays. Loin de se faire intimider, notre délégation ripostait à ces offenses outrancières, tout en rappelant leurs auteurs que les piédestaux de cette fondation chère au feu Josip Prose Tito, créée en 1960 à Belgrade, dans l’esprit et la continuité de la rencontre de Bandung en 1955, n’admettent guère ces errements attentatoires à l’intégrité territoriale de tous les membres de cette alliance historique. En revanche, la réaction marocaine soulevait le fait que les nations qui regroupent l’entité non alignée ne sauraient en aucun cas, être le refuge des groupuscules terroristes dirigés à agresser leurs voisins, par le truchement des armes qu’ils mettent à leur disposition. C’est bien le cas de l’Algérie qui, depuis longtemps fait des siennes contre notre pays, sans se rendre compte qu’elle ne fait que se fourrer le doigt dans l’œil et se compliquer l’état de son pays et sa population, en mal d’hostilité gratuite. Pendant qu’elle s’attelle lâchement  à ces manœuvres sordides, le Maroc s’en va activement se frayer les chemins de l’essor à multiples dimensions dont la dernier en date n’est autre que la performance sportive au Qatar, à l’issue de laquelle l’instance de la CAF vient de remettre le prix d’excellence au Souverain pour Sa contribution Royale à cet entrain exceptionnel. Une prouesse qui, sans nul doute aura causé des préjudices dans les vanités débiles de la soldatesque algéroise et provoqué à coup sûr, des envies enragées à leur petite cervelle. On ne le dira peut-être jamais assez que cet état pathologique dans lequel se meut le régime algérien ne fait non plus que précipiter son extinction, puisque le peuple s’en aperçoit amèrement et s’en est indigné au point de finir par s’en insurger tôt ou tard pour se délivrer aussi bien à l’intérieur d’une société à bout de nerf qu’à l’extérieur d’une région bloquée par l’entrave de l’une de ses composantes !

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