Un professionnel de référence aux valeurs humaines

Noureddine El Oufir tire sa révérence

C’est avec une grande émotion et une immense tristesse, que nous avons appris la terrible nouvelle. Notre ami et camarade Noureddine EL Oufir s’est éteint, lundi 17 décembre au soir, à la suite d’une cruelle maladie qui l’a brusquement emporté en quelques jours à l’âge de 75 ans.

Le défunt a effectué ses études supérieures à Grenoble en France, où il a milité dans les rangs du Parti de la Libération et du Socialisme, de l’Union nationale des étudiants du Maroc (UNEM) et de l’AEMNAF – Association des étudiants musulmans Nord Africains de France, seule association reconnue dans l’Hexagone, qui regroupait les étudiants marocains, algériens et tunisiens.

De retour au Maroc, en 1977, à l’issue d’études d’expertise comptable et des stages y afférents, El Oufir a rejoint, durant cette même année, l’Office Chérifien des Phosphates (OCP) au sein duquel il a occupé, successivement, les fonctions de chef de la Division Comptable, Directeur de Mission puis Directeur Général de Fertima, avant de rejoindre l’Omnium Nord-Africain (ONA) en qualité de Directeur Financier du Groupe qu’il a quitté au début des années 2000.

Il est l’un des fondateurs du cabinet conseil, le Centre d’Etudes, de Gestion et d’Organisation (CEGOR), dont il était cogérant associé et un des dirigeants depuis son départ du Groupe ONA. Il a, à ce titre, conduit notamment d’importantes missions d’audit opérationnel et de conseil pour le compte de nombreuses entreprises publiques et privées de premier plan. Par sa compétence, son professionnalisme et les valeurs humaines qu’il incarnait, le défunt était considéré comme une référence dans le secteur du conseil.

Au journal, nous gardons le souvenir de ce professionnel, qui intervenait en qualité de conseiller comptable et juridique pour le compte de la société BAYANE SA, société éditrice des quotidiens Bayane Al Youm et Al Bayane.

Qu’il trouve, ici, toute notre gratitude pour son éternelle fidélité et son plein dévouement professionnel.

Et, face à cette perte douloureuse, nous présentons nos sincères condoléances et notre compassion à sa veuve Madame Oumnia Belghazi, à ses enfants Ghizlane, Amine et Mehdi, ainsi qu’à tous ses proches, amis, collègues et connaissances, implorant le Tout-puissant de leur accorder patience et réconfort et à notre regretté Sa sainte miséricorde.

« La vie doit continuer », comme il le répétait souvent. Qu’il repose en paix !

« Nous sommes à Dieu et à lui nous retournons »

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