Funérailles émouvantes du journaliste Jamal Berraoui

Au cimetière des « chouhada » de Casablanca

 Les funérailles de feu Jamal Berraoui, qui s’est éteint lundi à l’âge de 69 ans dans la matinée dans une clinique casablancaise, se sont déroulées, après la prière d’Al Asr au cimetière des chouhadas (Martyrs), dans un climat d’émotion et de recueillement.

De nombreux journalistes mais également des personnalités politiques, médiatiques et artistiques, des amis et membres de la famille du défunt, ont assisté à ces funérailles.

Nous avons noté la présence de nombreux dirigeants et militants de l’Union socialiste des forces populaires, avec en tête le premier secrétaire Driss Lachgar, accompagné d’une forte délégation et d’anciens responsables de ce parti, des militants et dirigeants du Parti du progrès et du socialisme ainsi que de nombreux militants de gauche et de la société civile.

La profession était représentée, outre par le SNPM, par de nombreux anciens responsables médiatiques, de patrons d’entreprises médiatiques, dont le directeur de publication des journaux Al Bayane et néanmoins président de la Fédération Marocaine des Editeurs de journaux (FMEJ), Mahtat Rakas.

Pour rappel, le défunt avait roulé sa bosse dans plusieurs médias marocains, pour devenir un chroniqueur attitré et incontournable.

C’est à Abdelkebir Khchichen, président du Syndicat national de la presse marocaine (SNPM) qu’est revenue la lourde charge de prononcer l’oraison funèbre à la mémoire du regretté défunt, dans laquelle il a rappelé les qualités intrinsèques du défunt et son parcours journalistique.


En marge de ces funérailles émouvantes, plusieurs personnalités ont accordé des entretiens aux médias nationaux qui ont recueilli des témoignages louant loué le sens de dévouement du défunt pour la patrie et son nouveau métier, le journalisme pour lequel il a voué la plus grande passion pour l’investigation et le commentaire. Ce sont autant de qualités qui ont contribué à sa popularité et à sa renommée nationale.

Le défunt avait marqué ceux qui l’ont connu de près,  par son désir de transmission de bien des valeurs patriotiques, politiques et médiatiques de progrès.

M.K.

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