Au titre du premier semestre 2023
Le chiffre d’affaires (CA) consolidé de Timar a atteint 335 millions de dirhams (MDH) au titre du premier semestre 2023 (S1-2023), en hausse de 2% par rapport à la même période une année auparavant.
Cette performance est due à un « très bon premier trimestre » réalisé sur l’ensemble des activités du Groupe, indique Timar dans un communiqué sur ses indicateurs d’activité au deuxième trimestre 2023 (T2-2023).
Sur le plan trimestriel, le CA consolidé se trouve en légère baisse au T2-2023, comparativement au T2-2022, en raison d’un tassement des volumes constaté sur l’activité « Ro-Ro », ajoute la même source.
Parallèlement, le CA social à fin juin a connu une nette hausse de 12% par rapport à 2022, alors qu’au T2-2023, il a enregistré un léger recul par rapport à la même période une année auparavant, s’établissant à 111 MDH.
Cette tendance fait suite à la baisse des volumes traités sur l’activité de commissionnaire route, et ce malgré la très bonne performance constatée sur l’activité de commissionnaire overseas et sur le transit.
Pour ce qui est de la volumétrie, au cours du second trimestre, le nombre de dossiers traités a enregistré une baisse de 7% tant au niveau du Groupe qu’en social. Les principales filiales ont ainsi connu un léger tassement volumétrique principalement sur l’activité de commissionnaire route.
Sur le semestre, les volumes sont quasi-stables en social et en baisse de 3% sur le Groupe, le « très bon 1er trimestre » venant compenser partiellement le ralentissement observé au cours du second trimestre.
Quant aux investissements, ils se sont élevés à 2,7 MDH au niveau du Groupe et 1,2 MDH au niveau de la maison mère. Ils portent principalement sur l’acquisition d’installations techniques et de bureaux ainsi que sur du matériels roulants et informatiques.
Par ailleurs, au terme du trimestre, l’endettement financier net consolidé, hors retraitement IFRS 16 des locations simples, s’est établi à – 2,3 MDH contre 7,4 MDH à fin mars 2023. Cette amélioration s’explique principalement par l’évolution de la trésorerie nette des filiales européennes qui compense largement la légère détérioration de l’endettement financier net constatée sur la maison mère.