4e commission de l’ONU: Triste spectacle mercenaire

Alger n’épargne aucun effort pour faire perdurer le conflit saharien, depuis des décennies.

La tenue de la quatrième commission de l’Assemblée générale de l’ONU pour débattre, sans vote, de la question du Sahara marocain, est toujours une opportunité pour nos voisins de l’Est afin d’étayer leur haine et vindicte.

Et pourtant, les débats se déroulent avec la participation de talentueux juristes internationaux et d’experts des droits de l’Homme, et de décideurs politiques, bien au fait de la nature du conflit.

En plus du recours à des mercenaires locaux pour «parrainer» une cause qui n’en est pas une, au nom d’un internationalisme tuteur, le pouvoir algérien, malgré la disparition physique des ténors d’une cause imaginaire, leurs contemporains tentent de faire perdurer une idéologie devenue un fonds de commerce pour d’aucuns décideurs et autres enrôlés.

Les rapports d’organismes internationaux crédibles qui font la part des choses et chargent Alger et ses sbires. Cela va du HCR au PAM (Programme alimentaire mondial), en passant par l’Office européen de lutte anti-fraude (OLAF) et d’autres, qui incriminent des responsables algériens et polisariens et les accusent de faire perdurer le conflit générateur de beefsteaks pour ces tristes responsables.

La même comédie politicienne a lieu également dans les camps de Tindouf, à l’arrivée de toute délégation étrangère «amie».

Lors de l’actuelle session de la quatrième session, d’énergumènes et tristes inconnus sont appelés à défendre une prétendue république imaginaire et recourent à tous les artifices pour dénigrer le Maroc et, parfois, leurs propres pays, voire des pays avec lesquels ils n’ont aucun rapport…

L’on dirait que plus l’on hausse la voix, plus des sommes sonnantes et trébuchantes sont assurées.

Triste spectacle, hélas.

M.K.

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