Des bambins, des cuistots et/ou des lecteurs et autres éducateurs qui, paraît-il seraient nombreux à se délecter de la chronique quotidienne qu’un pauvre hère s’échine à assurer sans connaître le stress de la page blanche ? Tant il est vrai que le MEN n’est pas à un premier ratage près. Le plus lourd est bien celui qui consiste à réformer une réforme qui tarde à se mettre en place. Ils bachotent bien nos responsables du MEN, non ? Avouez qu’il y a bien anguille sous roche… Au moment même où ledit département peine à boucler ses budgets pour relancer notre estimée et très mal en point école publique. Les cantines scolaires, un non événement ? Voilà qui renvoie à de tristes souvenirs…