Depuis quelques temps, l’Université Ibn Zohr d’Agadir qui renferme presque la moitié des régions du royaume, issues du nouveau découpage administratif relatif à la régionalisation avancée, soit un flux de plus de120 000 étudiants, toutes communautés et cultures confondues, fait sensation.
Une quintessence de taille dont l’assouvissement des attentes formulées n’est pas à la portée de tout le monde. En l’espace de quelques années, pas aussi nombreuses que les doigts de la main, cette institution, à multiples spécialités dont la faculté de médecine et de pharmacie, ainsi que le CHU viendrait incessamment, compléter une panoplie de joyaux infrastructurels, et est en passe de se constituer en un réel creuset d’apprentissage et de formation tous azimuts.
Cette prouesse fastueuse qui force l’admiration, aussi bien dans le secteur que parmi les divers partenaires de la région, du pays voire de l’outre mer, n’est plus un secret pour personne. Uneréférence lustrée de labeur assidu, de civisme ardent, de gouvernance avérée et de volonté inépuisable, à l’image du Dr Omar Halli, un président qui s’active au sein d’une osmose synergique dont le répit est littéralement inconnu de ce cosmosidyllique. Entre autres, le pôle saisissant d’Ait Melloul s’érige en un modèle de persévérance, dans le sillage de cette impulsion phosphorescente, en plus d’une myriade d’ouvrages de construction, de novation et de consécration, à travers le vaste territoire de compétence de cet établissement universitaire, désormais hissé en véritable légende. Que dire de plus ? Ce serait, en fait, un euphémisme redondant que de s’évertuer à égrener tous ces exploits, après tant de reconnaissance élogieuse dont fait état une flopée d’observateurs de cette dynamique hors pair !
Oui mais, plus cet édifice ingénieux crève l’écran, plus les vils envieux crèvent de hargne, au point de se permette de se faire bassement «conforter» dans leur rage, par des plumitifs pervers. Un paradoxe des plus abjects ! Rudement hantés par la véhémence, ces renégats se paient le luxe de semer les balivernes de tout acabit, sans aucun effet sur l’audience largement enjouée par le vécu quotidien d’une université flamboyante. Le comble dans cette cet égarement du scribouillard qui suscite la dérision de tout un chacun, c’est, en effet, sa source exogène, alors que la totalité endogènene cesse de faire de dithyrambes à leur université florissante. Les quelques commanditaires de cette insanité dont l’un évoluant à l’EST d’Agadir en suspicion flagrante, ne peuvent que se mordre les doigts, au vu des succès constants, à la grande satisfaction des apprenants des régions du sud marocain, soit plus de la moitié de la superficie du pays.
«C’est bien l’arbre fécond qui est toujours victime de déprédation !», dit l’adage de chez nous. C’est ce qui se passe à l’arbre de l’université d’Agadir dont la floraison gêne les récalcitrants voués perpétuellement à l’ironie!