Saoudi El Amalki
Quelles immondices ! Nul ne peut descendre aussi bas tel que vient d’empuantir la télévision officielle du régime algérien, faisant fi à toute la déontologie médiatique de la planète. Pendant que le peuple marocain célèbre quasiment le demi-siècle de sa marche verte, les gazetiers véreux de la chaîne d’Alger se sont permis sans scrupule, de vomir de la bave intempestive sur leur voisin, en le taxant de bande d’ « affamés », de « pieds-nus » de « mercenaires » … D’abjects camouflets en direction de la société du Maroc dont le seul « tort » aux yeux des caporaux c’est d’avoir commémoré de plein droit l’une de ses glorieuses épopées nationales. Après avoir dégueulé toute cette motte d’avanies envers les populations du royaume, cette chaîne de la pourriture s’en est prise à la fête, en la grevant de « menterie » ou encore de « bluff » de l’histoire. Quelles insanités ! La rage est au paroxysme au sein de ce sac à puces qui infeste le pays de dérisions et son pantin aux grandes désillusions. En fait, au moment où le Maroc enchaîne les prouesses diplomatiques à la pelle en faveur de sa thèse juste et crédible, en mettant la quasi-totalité des pays sur sa lignée, le régime algérien s’accroche toujours à des mirages illusoires, tout en proférant de vils mépris à l’égard des marocains et leur fête. Il n’y a pas plus dingue qu’une chaîne officielle perde la moindre bribe d’éthique et de morale dont se devrait de se munir une chaîne respectueuse. A priori, notre pays ne se préoccupe nullement de ces dérives relevant de déficience pathologique chronique et s’occupe plutôt de la promotion et du développement de son Sahara en relevant le défi de l’autonomie brandi depuis 2007, sous les auspices des Nations-Unies. Il est bien clair que le pouvoir militariste algérien tente vainement de provoquer son voisin auquel il a déjà fermé les frontières, dans l’espoir d’enclencher une guerre régionale fratricide. Il n’en demeure pas moins évident que le Maroc ne mangera jamais de ce pain, puisqu’il sait pertinemment que ce régime, aveuglé par la haine et le dédain, en est caduc et vétuste. En fin de compte, l’Algérie est déjà en guerre permanente avec soi-même, car sa nature belligérante l’assaille et la hante tant qu’elle existe. Friedrich Nietzsche, le philosophe allemand du 19ème siècle disait dans ce sens : « Quand la paix règne, l’homme belliqueux se fait la guerre à lui-même ! »