Une crise inédite. Le Coronavirus sème actuellement la mort dans les quatre coins du contient. Un fléau plus dévastateur, plus ravageur que la guerre dont l’ennemi est bel et bien invisible.
Ipso facto, l’humanité vient de vivre un nouvel épisode crucial de son Histoire contemporaine. On compte les morts, les cas testés positifs, et même ceux qui ont pu s’en sortir…heureusement. En effet, la vigilance, l’entraide et l’attente sont les maîtres mots de la situation!
En cette période dure et tourmentée, les concitoyens sont invités à rester chez eux afin de limiter la propagation du virus Covid-19. C’est désormais une nécessité urgente pour sauver des vies, les nôtres !
Certes, le bon nombre d’écrivains sont habitués à la solitude, à l’isolement pour écrire, pour confier des choses aux mots. Par ailleurs, le confinement, grand thème littéraire, aujourd’hui, débloque les inspirations, réveille les mémoires et libre les imaginaires.
Ainsi, même s’il est imposé, le confinement est un temps pour mettre les mots sur les maux, pour se livrer à l’écriture afin de retrouver une nouvelle vie dans le silence. A vrai dire, ceux qui vivent heureux se nourrissent de la solitude !
Le confinement est-il alors une résidence d’écriture, une retraite spirituelle ? Comment certaines plumes d’ici et d’ailleurs vivent-elles en ces temps difficiles marqués par le doute, incertitude, la peur et l’attente? Comment meublent-elles leur temps libre ? Dans cette rubrique on vous propose un écrivain, une réflexion sur le confinement.
Mohamed Nait Youssef