identifier les dispositions à introduire dans la prochaine loi de finances.
Les doléances seront intégrées dans la loi de finances 2014
Les deux parties se sont d’ores et déjà mis d’accord sur deux principales mesures à savoir l’implémentation de la notion du gasoil professionnel ainsi que l’augmentation de la TVA appliquée sur le gasoil de 10 à 20%.
Pour examiner les tenants et aboutissants de la nouvelle hausse des prix de carburant sur l’activité du transport considéré comme secteur névralgique de l’économie nationale, le gouvernement n’a pas tardé à se concerter, même tardivement, avec les professionnels du transport. Et pour cause, la dernière augmentation des prix à la pompe a suscité de vives réactions chez les opérateurs des transports routiers de personnes et de marchandises. La Fédération nationale du transport routier affiliée à la CGEM ne voulait pas se prononcer sur la question du retour du système d’indexation avant la tenue de la réunion de mercredi. Ainsi, pour aller de l’avant et faire les compensations nécessaires face à la nouvelle hausse des prix de carburant sur les entreprises de transport, une commission technique verra le jour. Elle se chargera de l’étude des dsoléances des transporteurs. Selon Najib Boulif, les membres de cette commission vont enchaîner rapidement les discussions pour les intégrer dans la loi de finances 2014 qui, indique le ministre, est en cours de préparation.
Et d’ajouter, qu’un certain nombre de requêtes seront répertoriées par la commission technique pour être prises en compte dans l’élaboration du projet de loi de finances 2014 afin de garantir la compétitivité du secteur et minimiser les effets de la dernière hausse des prix du gasoil et de l’essence.
Pour sa part, Abdelilah Hifdi, président de la fédération du transport de la CGEM a évoqué deux mesures de nature à limiter la hausse des prix des produits pétroliers sur la tarification et sur le pouvoir d’achat du citoyen. Ces deux mesures qui doivent être intégrées dans le projet de loi de finances 2014 portent sur l’application de la notion du gasoil professionnel qui permettra la récupération d’une partie de la Taxe intérieure de consommation (TIC) sur les produits pétroliers. La seconde traduit l’augmentation de la TVA appliquée sur le gasoil de 10 à 20% au profit des entreprises.
Pour examiner les tenants et aboutissants de la nouvelle hausse des prix de carburant sur l’activité du transport considéré comme secteur névralgique de l’économie nationale, le gouvernement n’a pas tardé à se concerter, même tardivement, avec les professionnels du transport. Et pour cause, la dernière augmentation des prix à la pompe a suscité de vives réactions chez les opérateurs des transports routiers de personnes et de marchandises. La Fédération nationale du transport routier affiliée à la CGEM ne voulait pas se prononcer sur la question du retour du système d’indexation avant la tenue de la réunion de mercredi. Ainsi, pour aller de l’avant et faire les compensations nécessaires face à la nouvelle hausse des prix de carburant sur les entreprises de transport, une commission technique verra le jour. Elle se chargera de l’étude des dsoléances des transporteurs. Selon Najib Boulif, les membres de cette commission vont enchaîner rapidement les discussions pour les intégrer dans la loi de finances 2014 qui, indique le ministre, est en cours de préparation.
Et d’ajouter, qu’un certain nombre de requêtes seront répertoriées par la commission technique pour être prises en compte dans l’élaboration du projet de loi de finances 2014 afin de garantir la compétitivité du secteur et minimiser les effets de la dernière hausse des prix du gasoil et de l’essence.
Pour sa part, Abdelilah Hifdi, président de la fédération du transport de la CGEM a évoqué deux mesures de nature à limiter la hausse des prix des produits pétroliers sur la tarification et sur le pouvoir d’achat du citoyen. Ces deux mesures qui doivent être intégrées dans le projet de loi de finances 2014 portent sur l’application de la notion du gasoil professionnel qui permettra la récupération d’une partie de la Taxe intérieure de consommation (TIC) sur les produits pétroliers. La seconde traduit l’augmentation de la TVA appliquée sur le gasoil de 10 à 20% au profit des entreprises.