décrit un monde qui est en train de se construire et de se déconstruire en même temps.
Ghada Laghzaoui et l’écriture fascinante
Un monde plein des choses qui dépassent l’ordinaire et qui vit dans un état de transformation. Puisque tous ses signes de vie commencent à se métamorphoser. Quelquefois vers le bien, et d’autres fois vers la mélancolie dans le sens philosophique du terme.
Mais malgré cette mélancolie philosophique qui règne parfois dans ses écrits, l’écrivaine marocaine Ghada Laghzaoui a pu, grâce à son style tellement poétique, créer un univers narratif très riche par la signification de ses mythes personnels, de ses symboles profonds, et de ses métaphores réelles ou presque réelles. Un monde narratif plein de passions, plein d’émotions, plein de bouleversements, et plein de saisissements. Un monde où les personnages cherchent leur harmonie intérieure en luttant contre ceux qui les veulent faire souffrir.
En plus, ce qui est beau dans ces écrits, c’est que ces personnages réussirent souvent de dépasser leur souffrance, et revivre leur vie selon leur point de vue personnelle.
Dans son récit nommé par ce beau titre «Un soleil avec une moustache noire», l’écrivaine marocaine Ghada Laghzaoui ou plutôt la narratrice de ce récit nous décrit un enfant qui souffre d’une maladie qui n’est que «l’autisme», mais qui a pu, grâce à la peinture d’une part, et grâce au comportement remarquable de la narratrice, sortir de son isolement personnel, et partager sa joie avec elle.
On trouve dans ce récit bien remarquable « une ouverture totale du corps et de l’âme » selon l’expression même de l’écrivain Franz Kafka .Car l’écriture dans ce cas là devient comme une nécessité pour voir le monde autrement.
Dans d’autres récits, et surtout dans les récits qui décrivent la vie quotidienne parisienne, l’écrivaine Ghada Laghzaoui nous montre un monde plein de nostalgie, plein de musique, et plein surtout d’amitié. Elle décrit des gens qui aiment la vie malgré leur souffrance. Puisqu’ils sont toujours prêts à s’habituer avec le temps. Le temps de vivre en pleine harmonie avec eux-mêmes.
Ici l’écrivaine Marocaine Ghada Laghzaoui en décrivant la vie parisienne, comme a déjà fait le grand poète français Charles Baudelaire, éprouve une grande admiration pour cette ville, et surtout pour ses nuits presque mythiques, et pour ses gens à part. Ceux qui voient le monde avec un œil poétique, un œil artistique, un œil magique… !
Ainsi on peut dire que l’écrivaine marocaine Ghada Laghzaoui, avec son style tellement poétique où chaque mot trouve sa propre place, où chaque phrase reflète les ombres de l’autre, avec son bon choix de ses personnages, et avec surtout son talent de construire les effets narratifs, a pu nous offrir, en tant que lecteurs, un monde narratif très agréable. Un monde qui mérite d’être lu et d’être relu bien sûr.
Mais malgré cette mélancolie philosophique qui règne parfois dans ses écrits, l’écrivaine marocaine Ghada Laghzaoui a pu, grâce à son style tellement poétique, créer un univers narratif très riche par la signification de ses mythes personnels, de ses symboles profonds, et de ses métaphores réelles ou presque réelles. Un monde narratif plein de passions, plein d’émotions, plein de bouleversements, et plein de saisissements. Un monde où les personnages cherchent leur harmonie intérieure en luttant contre ceux qui les veulent faire souffrir.
En plus, ce qui est beau dans ces écrits, c’est que ces personnages réussirent souvent de dépasser leur souffrance, et revivre leur vie selon leur point de vue personnelle.
Dans son récit nommé par ce beau titre «Un soleil avec une moustache noire», l’écrivaine marocaine Ghada Laghzaoui ou plutôt la narratrice de ce récit nous décrit un enfant qui souffre d’une maladie qui n’est que «l’autisme», mais qui a pu, grâce à la peinture d’une part, et grâce au comportement remarquable de la narratrice, sortir de son isolement personnel, et partager sa joie avec elle.
On trouve dans ce récit bien remarquable « une ouverture totale du corps et de l’âme » selon l’expression même de l’écrivain Franz Kafka .Car l’écriture dans ce cas là devient comme une nécessité pour voir le monde autrement.
Dans d’autres récits, et surtout dans les récits qui décrivent la vie quotidienne parisienne, l’écrivaine Ghada Laghzaoui nous montre un monde plein de nostalgie, plein de musique, et plein surtout d’amitié. Elle décrit des gens qui aiment la vie malgré leur souffrance. Puisqu’ils sont toujours prêts à s’habituer avec le temps. Le temps de vivre en pleine harmonie avec eux-mêmes.
Ici l’écrivaine Marocaine Ghada Laghzaoui en décrivant la vie parisienne, comme a déjà fait le grand poète français Charles Baudelaire, éprouve une grande admiration pour cette ville, et surtout pour ses nuits presque mythiques, et pour ses gens à part. Ceux qui voient le monde avec un œil poétique, un œil artistique, un œil magique… !
Ainsi on peut dire que l’écrivaine marocaine Ghada Laghzaoui, avec son style tellement poétique où chaque mot trouve sa propre place, où chaque phrase reflète les ombres de l’autre, avec son bon choix de ses personnages, et avec surtout son talent de construire les effets narratifs, a pu nous offrir, en tant que lecteurs, un monde narratif très agréable. Un monde qui mérite d’être lu et d’être relu bien sûr.