Et c’est la poussière islandaise qui est incriminée. Bien entendu, le ciel marocain n’est pas le seul à être ainsi affecté par la colère du volcan islandais qui a mis à rude épreuve les compagnies aériennes les plus solides. Cela sans parler, bien sûr, des nerfs écorchés vifs de plusieurs millions de voyageurs. L’espoir est que le ciel soit dégagé d’ici à la fin de la semaine. Cela permettra certainement au staff dirigeant de la RAM de voir plus clair dans un environnement des plus hostiles. Entre les poussières et les pertes qu’elles engendrent, les mégaconcentrations entre géants et baroud d’honneur des compagnies «low cost», il faut croire que le pavillon national est sujet à bien des bourrasques. En attendant, croisons les doigts et fixons l’horizon tout en assurant un réel check up. Celui qui permettra un take off parfait.