Enseignement public: la responsabilité de l’Etat en question

Plus de 400 militantes et militants de la jeunesse socialiste, organisation parallèle du PPS, venus de toutes les régions du pays, se sont rassemblés à Agadir pour assister aux travaux de l’université d’été.

Durant ces trois jours (29, 30 septembre et 1er octobre), les jeunes du PPS ont essayé de décortiquer le rôle de l’Etat dans la gestion, la régulation et la promotion de l’Enseignement public, en présence d’un parterre d’acteurs du domaine.

Cette manifestation avait suscité, de bout en bout, un intérêt manifeste de la part des jeunes militants et des réactions très vives. Ouverte sur plusieurs sensibilités socio-politiques, cette université d’été des jeunes progressistes a réussi à replacer le débat sur le rôle de l’école au centre de la problématique générale des nouvelles missions régaliennes de l’Etat.

Dans son intervention au nom du Bureau politique, Azzouz Senhaji a rappelé que le PPS place l’enseignement public parmi les chantiers prioritaires et urgents dans le calendrier des réformes.

Une affirmation retenue et appuyée par le SG de la jeunesse Socialiste, Krimi Bencheqroun, qui a appelé à un sursaut national et général et des efforts colossaux pour une réforme réelle et globale de l’enseignement au Maroc.

Nous y reviendrons avec plus de détails dans nos prochaines éditions.

Saoudi El Amalki

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