La destination en pleine réouverture

sous les yeux d’une pléiade de journalistes présents à cette cérémonie.

Auparavant, au cours d’un point de presse accordé aux représentants des médias, le DG de l’office a confirmé la mise en place de quatre fréquences aériennes par semaine sur Agadir, à partir de l‘année prochaine. Cette capacité aérienne doublera dans l’année à venir et de même pour l’année suivante, précise-t-il, tout en exaltant l’image positive du Maroc en terre polonaise. La stabilité, la solidarité et la confiance sont autant de facteurs qui renforcent cette nouvelle impulsion, revigorée par une parfaite mutualisation des efforts de toutes les parties intervenantes. Pour sa part, Mariusz Janczuk, le PDG de Itaka a reconnu que, il y a deux ans, les Polonais méconnaissaient le potentiel marocain en termes d’atouts naturels et infrastructurels. Actuellement, ajoute-t-il, l’intérêt se développe de plus en plus sur la destination Maroc, particulièrement dans une prestigieuse station balnéaire telle Agadir. En fait, la capacité aérienne va doubler, avec cette possibilité de varier le produit. Bien évidemment,  la capitale du Souss, poursuit-il, constitue pour le marché polonais, un produit phare, avec l’élargissement de la vente vers Essaouira et Marrakech. Il est bien certain que la rentabilité est de mise, ce qui incite à la mise en avant d’une stratégie agressive et performante. Dans la foulée, Khalid Mimi, délégué de l’Office en Pologne, en Europe de l’Est et les pays baltiques, n’a pas manqué de mettre en exergue les actions menées sur place, dans ce sens, en particulier au niveau de la valorisation de l’artisanat marocain et les rencontres de promotion directe. Au terme de ces déclarations de la part des deux partenaires, on aura constaté un profond optimisme de part et d’autre, par rapport à cette initiative qui, sans nul doute, aura des retombées prometteuses sur la destination et, partant, l’industrie touristique nationale. Il reste, comme cela a été souligné, lors des interventions des journalistes, la capacité litière les activités parallèles devraient suivre, si l’on sait que le volume d’accueil recule, après la fermeture de certains hôtels, pour des raisons de récession du secteur, quoique d’autres voient le jour. D’autre part, il va aussi falloir qu’on se penche sérieusement sur la dimension shopping et animation en faveur d’une clientèle, de plus en plus exigeante.
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