Face aux décisions des nouvelles administrations en Syrie et aux Etats Unis
Le Secrétaire général du Parti du progrès et du socialisme, Mohammed Nabil Benabdallah, a adressé deux messages de solidarité avec les peuples syrien et cubain, à la suite des positions des nouvelles administrations mises en place en Syrie et aux Etats Unis d’Amérique.
S’adressant au camarade Najem Eddine Al Kharit, Secrétaire général du Parti communiste unifié syrien, Nabil Benabdallah dénonce, au nom du PPS, la décision prise par la nouvelle administration syrienne de dissoudre les partis nationaux, dont le Parti communiste syrien unifié.
Le Parti du progrès et du socialisme considère que cette décision s’inscrit dans le cadre de positionnements plus larges visant à perturber toutes les institutions de l’Etat et à monopoliser tous les pouvoirs exécutifs et législatifs entre les mains d’une seule personne. Nabil Benabdallah a réitéré sa solidarité absolue et inconditionnelle avec le Parti communiste syrien unifié contre cette décision, qui vise, vainement, à « faire revenir la Syrie plusieurs siècles en arrière » par « les forces obscurantistes et réactionnaires ».
D’autre part, le Secrétaire général du PPS a adressé, en son nom et en celui des camarades membres du Bureau Politique et du Comité Central, et de tous les militants du Parti du Progrès et du Socialisme du Maroc, un message de profonde solidarité et de soutien inconditionnel aux camarades du Parti communiste cubain et à tout le peuple cubain contre les sanctions et les contraintes prises par l’Administration américaine contre Cuba.
Le PPS déclare sa solidarité et son plein soutien également à la décision d’inclure Cuba de nouveau dans la liste noire, sachant que le PPS avait condamné cette décision prise par l’ancien président Biden mais retirée juste avant la fin de son mandat présidentiel. La reprise des mêmes décisions concertant cette liste noire mais également la poursuite de l’embargo américain, traduit en fait la « confusion de l’administration nord-américaine et sa perte de toute légitimité et moralité » face au soutien international manifesté à une écrasante majorité, chaque année, par l’Assemblée générale de l’ ONU.
Nous y reviendrons.
