Mettre un terme aux fantasmes médiatiques!

On a tendance ces temps-ci à polémiquer sur les relations PPS/PJD. Au-delà de certaines réflexions grincheuses qui continuent à remuer le fer dans la plaie au sujet de la nature de ces rapports, on s’acharne à clouer au pilori cette alliance dictée par la conjoncture nationale, au cœur des turbulences survenues au début de l’actuelle décennie.

Cette attitude haineuse à l’égard du parti du Livre dont le choix de s’allier avec le référentiel contre-nature n’a jamais été épargné, s’est résolument intensifiée, au lendemain du congédiement de l’ancien chef de l’exécutif.

Il est évident que les affinités entre les représentants de certains courants à l’intérieur du parti majoritaire et l’ancien chef de file ne sont pas au beau fixe. Par-ci, par-là, certains dérapages de ce camp échappent au devoir du respect mutuel. Mais, ils sont aussitôt rectifiés pour que cette alliance soit préservée. Ceci étant, on conviendra, alors sans ambages, que l’un et l’autre des deux partenaires «hétéroclites» se savent liés par les engagements tenus au service de la nation et du peuple, quoiqu’ils se sachent temporairement unis.

Il n’en demeure pas moins vrai non plus que d’aucuns trouvent du plaisir à poursuivre leur sadisme au détriment de la concorde dont a besoin cette phase cruciale de la gestion des affaires publiques. Pour ce faire, on incite la presse des caniveaux à faire en sorte que cette entente soit continuellement embrouillée, à travers des balivernes innommables. Les engagements tenus, depuis déjà des lustres envers les causes suprêmes de la patrie ne sauraient être affectés par des propos mensongers colportés ici et là, pour des calculs empreints d’animosité et d’hostilité.

Il va sans dire que l’action politique nationale en est sensiblement affectée, puisque les coups bas que perpètrent sans cesse, des ennemis de la démocratie et du progrès, sont constamment dégainés contre les valeurs du sérieux et de l’intégrité. Heureusement que le bon sens l’emporte souvent sur les fantasmes passagers, sans beaucoup d’incidence sur le reste. L’essentiel est qu’on soit finalement parvenu à faire valoir les intérêts suprêmes. C’est ce qui a éternellement animé un parti empreint jusqu’à la moelle de la praxis, appelé le PPS.

Top