«Un film d’Eisenstein ressemble à un cri,un film de Poudovkine évoque un chant» Léon Moussinac La réception cinéphilique et critique de l’œuvre de S.Eisenstein (La grève, le Cuirassé Potemkine, Octobre, Yvan le terrible…) par les Marocains a toujours focaliser l’attention sur le contenu révolutionnaire et épique de ses films beaucoup plus que sur leur expression…