Al Bayane est au-dessus du lot de la diffamation et de la mesquinerie…

La société Bayane SA, éditrice des quotidiens Bayane Al Yaoum et Al Bayane, a appris avec stupéfaction qu’une employée de la société,qui perçoit régulièrement et jusqu’aujourd’hui son salaire, a porté plainte contre le directeur administratif et financier et membre du conseil d’administration de la société, pour harcèlement sexuel. De même, cette information a été relayée par certains sites électroniques et sur les réseaux sociaux d’une manière qui suscite l’étonnement et l’écœurement.

Sur les faits, Bayane SA tient à signaler que la plaignante avait été recrutée sous l’ancienne direction et en dépit des remarques qui lui ont été notifiées quant à son rendement et son comportement professionnels, sans pour autant que cela ait un quelconque impact sur sa situation professionnelle ou salariale, excepté un avertissement justifié pris à son encontre. Ayant rejeté cet avertissement, la concernée a décidé de saisir la justice et l’affaire est actuellement en instruction. La plaignante continue de se présenter quotidiennement à son travail et assiste, dans le même temps, aux audiences du tribunal concernant sa plainte contre son administration. C’est là une preuve de la droiture, de la probité et de la rectitude de la société Bayane SA à l’égard de la concernée.

La plainte déposée par l’intéressée, accusant le directeur administratif et financier de la société de harcèlement sexuel, a surpris tout le monde et en premier lieu, les employées et employés de la société. A travers cette surenchère, l’auteure espérait peut-être tirer un profit quelconque du contexte qui domine actuellement le champ médiatique et juridique. Cette initiative désespérée porte atteinte, non seulement à la personne du directeur administratif et financier, mais à l’ensemble de l’institution, à son image, ses journalistes et ses employées et employés. Elle ne porte pas atteinte uniquement à la personne visée par sa plainte, ce que nous ne pourrons tolérer.

Cette affaire n’est pas anodine pour qu’on la laisse passer sans réagir. Il s’agit d’une tentative de diffamation mesquine contre une institution progressiste historique sur un sujet qui est au cœur de son combat et qui représente un de ses fondements idéologiques. Une initiative qui peut dissimuler une nouvelle campagne hostile dont les détails et les lignes surgiront ultérieurement et dont l’actuel acolyte n’est qu’un comparse.

Au sein de la famille d’Al Bayane, pour ceux qui l’ignorent encore, le travail se déroule dans la transparence et le respect. Les relations entre les composantes de la société sont empreintes des valeurs de cette école, conformément aux lois et règles en vigueur. Par conséquent, les accusations gratuites sont incompatibles avec l’esprit de notre école et il incombe à celui qui conteste cette vérité d’apporter les preuves de ses allégations ou de se taire à jamais.

D’un autre côté, les composantes de Bayane S.A ne toléreront jamais qu’on porte atteinte à l’un de ses cadres les plus dévoués et intègres et considère cette campagne de dénigrement qui le vise comme une attaque contre l’Institution toute entière.Elle se réserve par conséquent, le droit de recourir à la justice pour demander réparation face à cette tentative destinée à ternir sa réputation et son image et la dignité de son directeur administratif et financier. Car Al Bayane reste au-dessus du lot de la diffamation et de la mesquinerie…

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