L’université Ibn Zohr en apothéose!

L’une des citations les plus fréquentes de notre vécu quotidien serait sans doute,  celle qui revient à chaque fois qu’une personne, souvent basse et mesquine, tente de fustiger une autre dont le profil est largement supérieur. “L’arbre qu’on s’acharne à lapider, donne forcément des fruits !“.

Cette maxime parfumée de rhétorique conviendrait, à coup sûr, à l’état paradoxal qui marque, de bout en bout, le parcours du Dr Omar Halli, en tant que président de l’université Ibn Zohr de pas moins de cinq régions du sud. Comment comprendre l’attitude bornée de certaines gens qui s’obstinent à émousser l’éloquent passage d’un stratège avéré de la gestion, alors que tout le monde ne cesse l’encenser, depuis son investiture? De la myopie qui circule dans les parages intentée, chaque fois, par les mêmes personnes récidivistes!

Récemment, on s’en prend encore cette machine infernale qui ne d’atterrir à faire fleurir les bâtisses un peu partout dans immense espace régional de plus de la moitié territoire national, d’implanter les équipements les plus huppés dans les structures bâties, de sillonner de long en large cette chevauchée herculéenne pour superviser, accompagner et anticiper sur les perspectives, de tisser les passerelles entre toutes les composantes des projets lancés dont l’étudiant trône au cœur, de mette à l’avant les valeurs de l’université, en tant que référence citoyenne de la nation…Froidement et sans aucune vergogne, les mauvaises langues ne trouvent pas mieux que d’affadir cet effort faramineux  hors pair!

Franchement, quelle mouche a bien piqué ces briseurs qui n’ont jamais eu de cesse, depuis longtemps, de voir ces prouesses saillantes autrement ? Certes, le dicton précité irait bien à ces paradoxes, car il est bien connu dans le comportement social que plus on réussit, plus on jalouse. Cependant, dans le cas d’espèce, on est en face de psychopathes qui, à force de voir monter les édifices, la rage maladive monte d’un cran.

On ne peut alors que déplorer cette situation dans laquelle s’ébattent non seulement les collègues grincheux mais également d’autres à leur solde. Cette tempête envenimée qui s’est déjà déclenchée à la veille de sa reconduction à la tête de l’université Ibn Zohr d’Agadir, se réveille  aujourd’hui comme si le président allait postuler un troisième mandat, alors que le lui interdisait. Pourquoi toute cette haine, à quelques jours de son départ? Seuls les esprits réducteurs ont la réponse. Par contre, le partant mérite un vibrant hommage pour tous les services qu’il a rendu durant un itinéraire tout feu, tout flamme, n’en déplaise aux renégats!

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