La dernière ligne droite…

A quelques semaines des prochaines échéances électorales, la ruée vers les candidats potentiels dans les circonscriptions locales s’enflamme. Certaines formations politiques cherchent, à tout prix et souvent par des pratiques peu clean, à s’octroyer des clients même s’ils sont déjà pressentis ailleurs. La voracité électorale est à son apogée, à l’approche de la consultation populaire. Les spéculateurs et les intermédiaires se frottent les mains, dans les auspices des fossoyeurs des élections.

En ce moment crucial du processus, le PPS mène cette phase avec sérénité et engouement. Sa direction nationale jalonne tous les coins du Royaume pour installer les candidats du parti qui, au préalable, ont eu la confiance des structures de base, dans la loyauté et la transparence. Mercredi prochain, son instance suprême après le congrès validera cet ensemble dans la communion qu’on lui sait. Ses candidates et candidats s’en iront, par la suite, dans leurs régions respectives, entamer les préparatifs de la campagne électorale à venir.

Tout cet effort que le PPS ne cesse de déployer, par ses propres ressources humaines et politiques, se traduira, encore une fois, par la qualité de son propos, la dextérité de son analyse et la probité de son action. Fier de son passé de haute militance et de sa renommée de profonde audience, il ira dire aux citoyens ce qu’il a à leur dire, sans fard ni fanfare. Il arborera, haut et fort, son label politique franc et affranchi, avec courage et engagement. Toutes les préoccupations leur trouvera des réponses claires, sans aucune dérobade ni nulle tergiversation…

En cette étape de grande acuité, le souci du PPS n’est autre que la malveillance des autres qui, à la différence de sa démarche intègre et citoyenne, mettent les mains et les pieds pour contrôler, dévier et fausser la manœuvre électorale, à commencer par l’intimidation, le détournement et l’horrification des candidats qui décident de se présenter pour tel ou tel parti. Des conduites déloyales et révoltantes qui se faufilent, déjà, dans les rangs des entités politiques, telles des sangsues meurtrières.

On ne le dira jamais assez que ces agissements qui récidivent depuis des lustres, reviennent à la charge, sans que les décideurs concernés ne pipent mot. Il y va de l’intérêt suprême de la nation que de mettre un terme à ces comportements immondes qui continuent de souiller l’image d’un pays émergent, mais dont l’action politique souffre du monopole et de l’accaparement.

Top