Il est clair que notre pays s’est engagé, à cor et à cridans l’univers de la digitalisation pour mettre de la sève dans tous les systèmes. Pour ce faire, il met sur orbite une forte stratégie afin d’impulser encore davantage cette transition numérique en trombe. «Maroc Digital 2030», tel que baptisé, sous l’insigne inspiration Royale, la mouture fut récemment déclinée par la ministre de tutelle au dernier conseil de l’Exécutif.
Censé se doter d’une vision cristalline afférente à ces mécanismes bien taillés aux aspirations, le Royaume y va tambours battants, d’autant qu’il met les bouchées doubles dans son économie plurielle. On ne peut guère se contenter de «manuliser» ni «rudimentaliser» ses productivités, alors que les modes de travail passent aux vitesses supérieures partout dans le monde.
Il est donc question de réelle révolution à grande échelle sur laquelle le Royaume se devra de s’aligner pour se conformer à l’optimisation des opportunités diverses qui se présentent dans un pays en pleine phosphorescence économique.
Se positionnant en place de choix au sein du cercle des nations en Émergence avec lequel les divers pairs s’empressent de lui tenir compagnie, par le biais des processus de libre échange, le Maroc, sous des orientations illuminées de son Monarque, est appelé à s’y mettre corps et âme au rythme du Digital pour se rattraper des retards cumulés à ce propos et prétendre rivaliser avec les grandes nations de la prouesse numérique.
L’intensification de la performance digitale est de nature à maximaliser le rendement des services publics, fortifier l’élan économique au sujet duquel le royaume s’adjuge un rang des plus honorables sur toute la scène de l’industrie automobile, naval et aéronautique et, partant procréer la plus-value, tout en favorisant les investissements et créant les possibilités des postes d’emploi. Il faudra dire que cet important labeur auquel notre pays tient tant à cœur s’érige en priorité centrale dans l’expression manifeste de la volonté de se hisser en leadership dans le firmament de l’économie numérique de premier ordre.
Tout en performant sa prestance au plan administratif, sous toutes ses formes, notre pays s’attelle par l’intermédiaire de ses innovations du Digital, à parfaire son excellence concurrentielle dans le paysage universel, à fluidifier le produit à la perfection de sa prestation multidisciplinaire et à nidifier au plus haut niveau son répertoire numérique parmi ses inventions spécifiques dans le but de conclure ses souverainetés alimentaire, énergétique, sécuritaire et prestataire. Il est fort loisible de généraliser son Digital sur toutes les régions du pays dans le souci de décentraliser ses démarches dans ce sens et d’en déconcentrer les produits escomptés.