Lorsqu’on veut…

Gageons qu’à Bab Berrad, les frondeurs de quelques heures auront les os glacés jusqu’à la moelle pour continuer à tenir en haleine ceux qui sont supposés les inciter à cultiver autre chose que le kif. Car quand on veut, on peut… Et l’affaire est loin d’être aussi anodine qu’il n’y paraît. Le kif pourrit tout sur son passage. Y compris les travées d’institutions qui doivent être lavées de tout soupçon. Et là, il faut convenir que la tolérance n’est plus de mise. A moins que le Rif ne bénéficie, dans des esprits brumeux, d’un quelconque régime d’extraterritorialité. En tout cas, personne ne saurait «kifer» une telle maldonne. Rationnellement parlant. A moins de privilégier la pire des logiques, celle du zigzag qui met en pétard tout le monde !   

 

 

 

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