La visite de travail que SM le Roi Mohammed VI effectue aux Etats-Unis d’Amérique tire toute son importance non seulement de la profondeur des relations séculaires entre Rabat et Washington, mais également de la volonté affichée de part et d’autre de leur donner une nouvelle dynamique, après tout ce qui a été récemment véhiculé sur un éventuel refroidissement de ces relations ou un quelconque changement de position de l’Administration américaine au sujet des grandes causes du Royaume.
Seront évidemment abordées au cours des entretiens de SM le Roi avec le président Barack Obama les préoccupations majeures du Maroc et en particulier la cause de l’intégrité territoriale du Royaume, au sujet de laquelle le Souverain devra réaffirmer la position déjà exprimée dans le dernier discours royal, prononcé à l’occasion de l’anniversaire de la Marche verte.
Les entretiens entre le Souverain et le président américain devront porter aussi sur le désir du Maroc de renforcer davantage le partenariat économique et commercial entre les deux pays et d’approfondir le dialogue stratégique en se fondant sur la solidité des relations entre les deux pays, qui revêtent un aspect historique et séculaire exceptionnel ainsi que sur le partenariat que les deux nations entretiennent. Mieux encore, les deux pays disposent désormais des mécanismes politiques et juridiques nécessaires pour améliorer davantage leurs relations, dont le dialogue stratégique qu’ils ont engagé et l’accord de libre échange qui les lie. C’est ainsi qu’il n’est pas surprenant de rappeler que le Maroc avait été choisi en 2004 comme partenaire stratégique des Etats-Unis en dehors de l’OTAN.
C’est donc dans une perspective de rapprochement entre les deux pays qu’il convient de placer l’actuelle visite royale qui vise la défense des causes marocaines et les intérêts nationaux économiques et stratégiques du Royaume.
Les entretiens entre les deux parties devront porter de même sur les questions régionales et internationales d’intérêt commun et en particulier la lutte contre l’extrémise, le fanatisme et le terrorisme, le soutien des expériences et processus de transition démocratique et le développement économique et social au Proche-Orient et en Afrique, où le Maroc joue un rôle indéniable et déploie des efforts pour préserver la stabilité et promouvoir le développement surtout dans les pays du Sahel et du Sahara.
Compte tenu du fait que les deux pays partagent les mêmes points de vue et les mêmes idéaux au sujet de ce qui se déroule dans le monde et entretiennent des relations séculaires, il est nécessaire pour le Maroc et les Etats-Unis de renforcer davantage leurs coopération et partenariat dans le but de soutenir un pays comme le Maroc qui constitue un modèle démocratique et de développement dans la région. Et qui connait une stabilité politique sociale sans pareille dans les pays du voisinage, tout en étant fortement engagé pour promouvoir les valeurs d’ouverture, de démocratie et des droits humains.
Quant à notre diplomatie, elle est tenue désormais de développer de nouvelles approches pour promouvoir l’image du pays et défendre ses intérêts. Dans ce sens, elle doit opter pour des actions plus offensives, soutenue en cela par un large consensus national autour des grandes causes nationales, qui trouve son écho sur le plan interne dans la poursuite des réformes démocratiques et de l’œuvre de développement en cours.
Seront évidemment abordées au cours des entretiens de SM le Roi avec le président Barack Obama les préoccupations majeures du Maroc et en particulier la cause de l’intégrité territoriale du Royaume, au sujet de laquelle le Souverain devra réaffirmer la position déjà exprimée dans le dernier discours royal, prononcé à l’occasion de l’anniversaire de la Marche verte.
Les entretiens entre le Souverain et le président américain devront porter aussi sur le désir du Maroc de renforcer davantage le partenariat économique et commercial entre les deux pays et d’approfondir le dialogue stratégique en se fondant sur la solidité des relations entre les deux pays, qui revêtent un aspect historique et séculaire exceptionnel ainsi que sur le partenariat que les deux nations entretiennent. Mieux encore, les deux pays disposent désormais des mécanismes politiques et juridiques nécessaires pour améliorer davantage leurs relations, dont le dialogue stratégique qu’ils ont engagé et l’accord de libre échange qui les lie. C’est ainsi qu’il n’est pas surprenant de rappeler que le Maroc avait été choisi en 2004 comme partenaire stratégique des Etats-Unis en dehors de l’OTAN.
C’est donc dans une perspective de rapprochement entre les deux pays qu’il convient de placer l’actuelle visite royale qui vise la défense des causes marocaines et les intérêts nationaux économiques et stratégiques du Royaume.
Les entretiens entre les deux parties devront porter de même sur les questions régionales et internationales d’intérêt commun et en particulier la lutte contre l’extrémise, le fanatisme et le terrorisme, le soutien des expériences et processus de transition démocratique et le développement économique et social au Proche-Orient et en Afrique, où le Maroc joue un rôle indéniable et déploie des efforts pour préserver la stabilité et promouvoir le développement surtout dans les pays du Sahel et du Sahara.
Compte tenu du fait que les deux pays partagent les mêmes points de vue et les mêmes idéaux au sujet de ce qui se déroule dans le monde et entretiennent des relations séculaires, il est nécessaire pour le Maroc et les Etats-Unis de renforcer davantage leurs coopération et partenariat dans le but de soutenir un pays comme le Maroc qui constitue un modèle démocratique et de développement dans la région. Et qui connait une stabilité politique sociale sans pareille dans les pays du voisinage, tout en étant fortement engagé pour promouvoir les valeurs d’ouverture, de démocratie et des droits humains.
Quant à notre diplomatie, elle est tenue désormais de développer de nouvelles approches pour promouvoir l’image du pays et défendre ses intérêts. Dans ce sens, elle doit opter pour des actions plus offensives, soutenue en cela par un large consensus national autour des grandes causes nationales, qui trouve son écho sur le plan interne dans la poursuite des réformes démocratiques et de l’œuvre de développement en cours.