Secteur d’Education et formation dans le Souss

Saoudi El Amalki

Le programme ambitieux des écoles écologiques se poursuit à l’académie régionale d’éducation et de formation, en partenariat avec l’association « Al Intilaka Al Jaïda », la société de farine de poisson PESCASUD Aït Melloul et la direction préfectorale du secteur. Cette synergie se traduit récemment dans la mise à niveau de l’école d’Aït Mouden au sein des piémonts de la ville ainsi  que le relooking de l’entrée de l’établissement. Cette opération fut marquée par la présence effective de la directrice de l’AREF de la région Souss Massa, Wafa Chakir, accompagnée de nombre d’intervenants du secteur et d’acteurs partenaires. Cet imposant cortège fut accueilli par le directeur de l’école piémontaise Atlas du douar Aït Mouden, les apprenants du cycle primaire et les membres de l’association des parents d’élèves qui ont contribué notoirement au succès de cette activité à caractère écologique. C’était également une occasion pour les hôtes de l’établissement de mettre en exergue les efforts déployés à cet effet, s’enquérir des actions menées à cet égard et les résultats des élèves, toutes catégories réunies. En clôture de cette visite dont le plat de résistance consistait à revigorer cette démarche écologique à l’école, l’assistance a eu droit à une panoplie de prestations créatives de interprétées par les élèves sous forme de chants et danses par l’intermédiaire desquels ils ont manifesté leur satisfaction vis-à-vis de l’action collective, responsable et féconde. Il va sans dire que cette opération de haute teneur éducative et pédagogique, vise à participer à la promotion de l’école publique et à la création d’un environnement appropriée à l’apprentissage de nature à inciter les apprenants et les encourager à la rentabilité et la créativité. Il faut bien dire que la directrice de l’académie est fort réputée pour ces actions et s’attelle constamment à consolider ces approches dans les établissements scolaires, dès son avènement à la région Souss Massa. Il va sans dire pareillement que l’action partenariale auquel elle tient à cœur est à même de raviver la société civile et l’entreprise citoyenne au service de l’école marocaine, à la recherche des moyens au niveau des nécessités élémentaires. D’autre part, elle met en symbiose la communion des composantes du secteur, en rapport direct avec les partenaires de toutes parts, pouvant aller de pair avec les mêmes aspirations. D’autant plus que ces actions sont destinées en particulier, aux écoles nécessiteuses dans ce sens, à l’instar des écoles de piémonts où les équipements publics et les infrastructures se raréfient, tout en rappelant qu’un budget juteux de la commune fut enfin prévu pour les travaux de qualifications de ces sites.