Le PASOCI met à nu… Alger

Flagrant délit de mensonge et de manipulation

Alger ne rate aucune occasion pour nuire au Maroc. Dernière victime de la propagande mensongère: le Parlement africain de la société civile (PASOCI), un organisme doté d’un statut spécial auprès de l’ONU.

Le mensonge est gros et veut que la deuxième conférence du PASOCI sur la thématique de l’immigration se tienne à Alger et non à Rabat comme décidé lors de la Conférence Internationale de la Société Civile Africaine tenue du 27 au 29 décembre 2017à Conakry en Guinée.

Mais, à l’approche de l’événement, Alger et ses réseaux dont une presse aux commandes, moyennant des sommes sonnantes et trébuchantes, tente de faire croire à qui veut bien l’entendre que cette grande manifestation serait organisée en Algérie et non au Maroc.

Fidèle à ses pratiques mensongères, Alger veut toujours semer le doute sur les initiatives marocaines dans le continent africain, surtout après le retour du Royaume au sein de l’OUA.

Souvent, les ténors algériens de l’anti-marocanisme primaire montent au créneau pour contrer les projets et les initiatives du Maroc, qui revient et reprend les devants de la scène africaine, politiquement, économiquement et socialement.

C’est le PASOCI, lui-même, qui vient d’opposer un démenti sans appel à Alger et aux médias qui ont «annoncé» la tenue de la deuxième conférence en Algérie.

La nouvelle tactique à laquelle Alger a recouru est de s’adresser au sieur Yves Magloire, au triste nom pour avoir été déchu du PASOCI.

Laissons la parole à cette instance africaine pour nous dire ce qui lui est reproché : «Yves Magloire ayant été officiellement déchu de cette qualité et privé de toute compétence de représentation par les instances habilitées au sein de notre parlement».

Il a été «remercié pour ses manquements graves à plusieurs exigences et valeurs consacrées par les documents fondateurs du PASOCI, notamment le détournement des fonds attribués à l’organisation de la Conférence de Conakry en décembre 2017 et qui a conduit à son emprisonnement».

Et au Bureau Exécutif du PASOCI de confirmer la tenue de sa deuxième conférence à Rabat et de «dénoncer cette manœuvre dilatoire», par le biais de son Chargé de Communication en visite de travail à Paris auprès des instances Françaises et Européennes.

Pierre Lamah, par un communiqué officiel rendu public, estime que «l’état d’avancement considérable des préparatifs de cet évènement et le fort engouement, manifesté par les ONG de très nombreux pays africains», témoignent déjà de la réussite de l’édition de Rabat.

M.K

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