Mohamed Hajjioui honoré au Festival de la chorégraphie et l’expression corporelle

C’est un hommage bien mérité qu’a reçu Mohamed Hajjioui, journaliste à Bayane Al Yaoum, dimanche dernier. Egalement vice-président de l’Organisation des pionniers enfants du Maroc (OPEM), il a été honoré par le Festival de la chorégraphie et l’expression corporelle pour ses efforts déployés au sein de l’organisation.

Le journaliste et militant au sein de l’OPEM n’a pas caché sa joie d’avoir été honoré par le festival organisé par les sections de l’OPEM de la région de Casablanca-Settat. «L’hommage qui m’a été rendu lors de la 9e édition du festival est un geste louable de la part de mes camarades de la région de Casablanca- Settat. Il restera à jamais gravé dans ma mémoire», a-t-il déclaré. Il a d’ailleurs saisi cette occasion pour féliciter les militantes et militants des sections de l’OPEM de la région de Casablanca-Settat, pour l’organisation du festival de la chorégraphie et l’expression corporelle qui est un rendez-vous artistique annuel fêtant le corps et son langage.

Un moment où les participants partagent les valeurs de paix, de tolérance et l’art sous toutes ses facettes. De son avis, Rachid Boukbida, membre du Bureau exécutif et coordinateur régional de Casablanca-Settat a cru dès le début à l’idée d’un événement artistique, qui a grandi au fil des ans et qui s’est frayé une place parmi les grands festivals au niveau régional et national.

Pour sa part, Rachid Roukbane, président de l’OPEM, a souligné que Mohamed Hajjioui est un journaliste brillant qui a défendu les droits des enfants. «Cette initiative de lui rendre hommage à Casablanca est une affirmation de la culture de reconnaissance qui caractérise l’organisation». Il a également déclaré que le festival de la chorégraphie et l’expression corporelle est une initiative artistique organisée par l’OPEM avec beaucoup de professionnalisme et dont les camarades ont assuré la continuité.

Le niveau des troupes participantes et la qualité de la programmation ont évolué, a-t-il déclaré. Un autre atout du festival, c’est son ouverture sur les jeunes, leur permettant de s’exprimer et de monter leurs créations dans le but de diffuser les valeurs de citoyenneté, d’épanouissement, d’entraide et d’ouverture sur l’autre, a-t-il indiqué.

Au menu théâtre, cette édition a été marquée par la participation de la troupe du défunt Mostapha Moustaaid. Le volet musical a été assuré par l’artiste Nagham qui charmé le public en revisitant le répertoire de la musique Hassanie, le groupe «KMZ4», l’association «Family Kaw» et bien d’autres. Il est à rappeler que le titre de l’année a été remporté par «KMZ4».

Cette édition, animée par l’artiste Abdelali Atif, a rendu d’autres hommages, notamment à l’artiste Saloua Jwahri, à la journaliste Hassiba Zwawi et à Hassan Mokhtar, cadre au Ministère de la Justice.

Mohamed Nait Youssef

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