«Les Etoiles de Sidi Moumen», prochain film de Nabil Ayouch en quête de financement dans le cadre de «L’Atelier» du Festival international du cinéma de Cannes (12-23 mai), suscite déjà l’intérêt des professionnels, a indiqué Georges Goldenstern, directeur de la Cinéfondation.
L’insécurité ! Voilà une problématique qui donne du tournis aux services de police au Maroc et spécialement dans les grandes villes. Ces derniers temps beaucoup constatent que se balader dans la rue soit en journée ou en pleine nuit est devenu synonyme d’une vraie mésaventure. Fès semble être la ville où l’insécurité bat son plein.
Abdeslam Seddiki, professeur d’économie et membre du Comité central du Parti du progrès et du socialisme, estime que le bilan du gouvernement El Fassi, dans ses deux premières années, reste globalement positif, mais que les résultats concrets auraient pu être meilleurs.
Pour Mohssine Benzakour, enseignant universitaire en psychologie sociale, la criminalité au Maroc est en étroite relation avec la société de consommation dans laquelle nous vivons, ajoutez à cela, l’absence de politiques bien définies en relation avec les problèmes des jeunes. Aussi, selon Benzakour, la famille n’est pas seule responsable de la situation alarmante de la criminalité dans notre pays. Propos.
La chambre criminelle (premier degré) près de la Cour d’appel de Casablanca a reporté jeudi le procès de la première affaire du marché de gros de Casablanca au 8 juillet prochain. Le report a été décidé pour convoquer de nouveau trois présumés accusés qui étaient absents lors de l’audience de jeudi.
Le Maroc, fort de l’adhésion totale des populations du Sahara, réaffirme son attachement au processus de négociations, son soutien aux efforts du Secrétaire Général de l’ONU et de son Envoyé Personnel, M. Christopher Ross, ainsi que sa détermination à poursuivre son engagement fort pour parvenir à une solution politique négociée sur la base de l’Initiative marocaine d’autonomie, a affirmé M. Khaddad El Moussaoui, vice-président du Conseil Royal Consultatif des Affaires Sahariennes (CORCAS).
Le bilan économique présenté à mi-mandat de l’investiture El Fassi affiche certes des avancées notables dans plusieurs secteurs d’activités tels la promotion des investissements publics, le développement durable et la baisse du taux de chômage. Néanmoins, les deux années et demi de gouvernance n’ont pas suffi à l’équipe actuelle de mieux gérer les défauts de compétitivité de l’économie nationale.
