Fidèle à une tradition instaurée depuis quelques années, Bayane SA, entreprise de presse éditrice des quotidiens Al Bayane et Bayane Alyoume a organisé, vendredi dernier à Casablanca, un ftour collectif dans l’enceinte de son mythique siège de la Gironde à Casablanca.
La quinzaine de tables dressées à la grande entrée de l’imprimerie du journal, transformée en restaurant moderne, n’était pas en mesure d’accueillir les nombreux invités et amis des journaux, venus du monde de la politique, de la culture et des arts mais aussi et surtout des médias et du monde de l’édition et des sports. Une khaïma (tente caïdale) moderne a été installée à l’entrée du siège des journaux pour accueillir plusieurs les invités.
Et, comme c’est devenu coutumier, le ftour annuel d’Al Bayane et Bayane Alyoume a conquis sa place de rendez-vous incontournable entre les anciens journalistes qui avaient travaillé, à un moment ou à un autre, au sein des rédactions des deux quotidiens.
Conçue comme un instant de retrouvailles et de rencontres entre la direction, ses journalistes et son personnel, cette rencontre annuelle connaît, régulièrement et comme ce fut le cas vendredi, la participation du Secrétaire général du PPS, Mohamed Nabil Benabdallah et de nombreux membres du Bureau politique, du Conseil de la Présidence et du Comité central, à côté d’anciens journalistes et travailleurs, dont des retraités, des deux journaux.
Mahtat Rakas, directeur de publication d’Al Bayane et de Bayane Alyoume, et également président du Conseil de surveillance de Bayan SA, a prononcé, à cette occasion, un mot de bienvenue aux invités présents et les remercier pour leur présence.
Il a rappelé, en plus de l’objectif social et humain de la rencontre, la symbolique des lieux, dans le combat, d’aujourd’hui, des journalistes marocains et la longue marche de «la presse patriotique, démocratique et progressiste» dans notre pays, tout en exprimant les «aspirations des professionnels du métier à faire évoluer la presse et les médias afin de contribuer à «la dynamique que connait notre pays en matière de démocratie et de développement».
M.K.