Lequel, on le devine, fait courir beaucoup de bruits sur l’ampleur des malversations et les milliards qui partent en fumée pour incompétence gestionnaire. Le tout, et c’est bien pire, doublé d’une grande appétence pour les détournements. La cour des comptes fait son travail. Elle est armée pour cela de structures régionales et de magistrats qui, en principe, doivent être au-dessus de tout soupçon. Soit ! Sauf que le laxisme avec lequel sont traitées les recommandations de ladite cour laisse pantois les observateurs les plus fins. C’est pourquoi d’aucuns n’hésitent point à emprunter bien des raccourcis pour assener le coup de grâce à une structure des plus importantes dans le pays. En n’y voyant qu’une cour des contes. Voilà qui soulève bien des questions pertinentes sur la finalité de l’activité de la cour. Histoire de la soustraire aux dérives bien propices sur la cour, à ciel ouvert, de Jamaa El Fna. En d’autres termes, si nids de vipères il y a dans les structures contrôlées, le remède idoine n’est certainement pas à voir du côté des charmeurs de serpents. Ksss !