Youssef Ait Hammou* Le constat est évidemment amer et tragique : alors que la société marocaine entière s’emballe pour les images, les films, les vidéos, les satellites, les plateformes, l’université, elle, reste en retrait, recroquevillée sur ses sacro-saints dogmes de l’oralité et de l’écrit et sourde aux besoins d’études et d’analyses de ces phénomènes qui…