L’Algérie au pied du mur

En dépit des actes de déstabilisation fomentés par des détracteurs, la question du Sahara fraie le chemin du règlement dans les règles de l’art. Ni les errances irréfléchies de l’envoyé onusien ni les représailles abjectes de la junte algéroise, encore moins les pleurnichements crocodiliens du guignol séparatiste, ne sauraient mettre du plomb sur les ailes de la justesse des thèses du Royaume Chérifien.

Le Droit marocain ignifuge sur les terres récupérées est reconnu désormais par la quasi-totalité desNations, spécialement parmi les plus puissantes et influentes du globe. Les Etats-Unis, la France, l’Espagne entre autres sur l’échiquier universel, plus encore le Conseil Européen qui rassemble les 27 États membres de l’Union, réunis en sommet récemment à leur siège deBruxelles, arborent haut et fort cette réalité inaltérable.

Ce conglomérat étanche qui se répand dans les multiples et diverses sphères intercontinentales, en faveur de la souveraineté du Maroc sur son territoire du sud, sonne le glas et resserre l’étau sur l’opiniâtreté pathologique des caporaux algériens. Il est bien clair que cette haine chronique envers le royaume, perpétrée depuis la guerre des sables en 1963, ne date pas d’aujourd’hui, mais s’amplifie au fil du temps au point de générer une dichotomie génération elle entre les deux peuples frontaliers, censés s’unir à perpétuité.

Il n’en est pas non plus, moins clair que cette hostilité ininterrompue s’explique par la nature de ce régime expansionniste dont les envies belligérantes de leadership sur la région,l’assaille à jamais et, en conséquence torpille de plein fouet, le rêve d’une union maghrébine en déconfiture. Le malheur pour cette entitéveule de militaristes ringards, c’est qu’ils s’enragent à mortau regard de leur ennemi juré caracoler au summum aussi bien sur les plans diplomatique où ils sontdéplumés jusqu’à la lie, économique où ils sont littéralement semés par leur voisin, vent en poupe et enfin stratégique en termes de partenariats multisectoriels diversifiés…A quel saint devraient-ils se vouer, face à ce cul-de-sac cinglant auquel conduisent leurs convoitises ?

Il faudrait bien dire que les régimes totalitaires de par l’Histoire, ont toujours fini par succomber, à longueur de tempsà mesure que leur isolementest irrévérencieux et que le peuple fait sa mue vers la reviviscence salvatrice, aussi bien dans le foyer, la rue que même dans la caserne où des jeunes soldats dissidents se révoltent contre les chimères outrancières.

Il importe de rêver de ce jour qui tôt ou tard, gagnerait les esprits sains des générations futuresoù l’instinct de liberté l’emporterait sur le despotisme ténébreux… Un vieux proverbe italien disait : «Mieux vaut vivre un jourtel un lion que cent ans tel un mouton».

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