La résolution onusienne de la Vérité!

Depuis quelques temps, le régime algérien se met au pied du mur. Ses agissements anti-marocains dans l’affaire du Sahara ne cessent de le clouer au pilori, en dépit de ses vaines dérobades. Après l’écrasement récent de son avion militaire au sein duquel des milices du Polisario se trouvaient à bord et l’armement lourd et abusif de son arsenal militariste, révèlent, encore une fois, ses intentions belliqueuses consécutives à ses éternels appétits expansionnistes. Le groupuscule séparatiste qu’il adopte se transforme alors en un véritable boomerang fatal!

Il n’est pas, en fait, exclu que l’échec de ses viles manœuvres qui ont peut-être pu, par le passé, démystifier nombre d’entités, en plus de la crise relative à la dégradation de son front Interne, enrage ses dirigeants atterrés par ces désillusions répétées. Il ne fait pas de doute non plus, que l’étau, de plus en plus, resserré dans lequel il est tenaillé, au su et au vu de la communauté internationale, ne fait que l’acculer  encore davantage au précipice du désarroi et de la panique.

Comme disait La Fontaine dans l’une de ses fables, riches en enseignements : « Le paon a beau faire la roue, il finit par se découvrir le derrière ! ». L’attitude altière de la junte algéroise semble convenir à cette belle métaphore. Sa course effrénée pour parvenir à ses désirs hégémoniques dans la région, par le truchement d’abjectes manipulations colportées, depuis plus de quatre décennies, s’essouffle face aux mirages hallucinants qu’il ne cesse de sévir, au fil du temps.

Aujourd’hui encore, à l’occasion du vote inhérent à la résolution du conseil de sécurité de l’ONU sur le Sahara, la machination algérienne est tournée au vinaigre. En effet, ce nouveau projet de texte soumis par la diplomatie de la Maison Blanche, à l’instance onusienne en question, fait allusion au régime algérien, certes d’une manière implicite, mais incontestable. Jugeons-en :  » …demande aux États voisins d’accentuer leur implication dans les négociations et remplir leur rôle essentiel et spécial en soutien au processus politique « .

Visiblement et plus que jamais, l’Algérie est mise à l’index dans ce conflit artificiel dont elle avait perpétuellement nié l’immixtion. Les indicateurs aussi bien sous-jacents que saillants ne peuvent indéfiniment demeurés dissimulés et impunis. Cette prise de conscience déterminante des grandes puissances mondiales, par rapport à une question qui n’a que trop moisi dans les tiroirs de l’institution à laquelle revient le dénouement, paraît bien tirer les conclusions d’un laxisme préjudiciable pouvant générer un embrasement régional aux répercussions fâcheuses sur tout l’entourage intercontinental.

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