Aux abois, le polisario droit dans le mur

Aux abois plus que jamais, le polisario s’affole sur sa descente aux enfers. En effet, les gifles de la part de la communauté internationale se succèdent, l’acculant au mur, en neutralisant ses propagandes et ses endoctrinements dont il s’est longtemps servi pour manipuler les séquestrés dans les camps de Tindouf afin de détourner les aides humanitaires et de tirer profit des trafics en tous genres, en plus de ses connexions terroristes.

Ces manœuvres pour maintenir une situation sans précédent dans le droit international sont complètement mises à nu aujourd’hui. C’est ainsi que des pratiques esclavagistes signalées depuis des années par des ONG de défense des droits de l’homme sont revenues sur le devant de la scène internationale.

Cette triste réalité s’ajoute aux actes de violation systématique des droits humains qui sont devenus monnaie courante dans les camps.

Dans ce contexte qui interpelle, plus que jamais, la communauté internationale, les dirigeants de la fantomatique «rasd» et leurs commanditaires ont opté pour une fuite en avant, mais toujours sur la voie de violation du droit international.

A ce propos, les décideurs algériens ont transféré leurs pouvoirs aux séparatistes dans les camps de Tindouf. «La Communauté internationale ne peut rester silencieuse à l’égard des violations des droits de l’Homme dans les camps de Tindouf par le mouvement séparatiste armé, le polisario», a dénoncé M. Omar Hilale, ambassadeur, représentant permanent du Maroc auprès des Nations-Unies devant la quatrième Commission de l’ONU.

Soumis à un blocus militaro-sécuritaire, ces camps connaissent depuis plusieurs mois des manifestations, contestations et soulèvements populaires civils contre le polisario, a déploré l’ambassadeur marocain.

Et d’ajouter que ce mouvement séparatiste recourt massivement à la répression violente et à l’usage de moyens militaires lourds pour réprimer les manifestants. Le même constat a été dressé par l’ambassadeur représentant permanent du Maroc auprès de l’Office des Nations Unies, Omar Zniber.

Intervenant lors d’une réunion sur la «mise à jour des opérations du Haut commissariat pour les réfugiés (HCR) au Moyen-Orient et en Afrique du Nord», dans le cadre de la 77ème réunion du Comité permanent du Programme du HCR, M. Zinber a «dénoncé, une fois de plus, la militarisation des camps de Tindouf, en violation des conclusions de ce comité stipulant que les pays hôtes assument la responsabilité d’assurer le caractère civil et humanitaire d’asile».

B.Amenzou

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