Saoudi El Amalki
Par leur ministre de la diplomatie, les États-Unis d’Amérique ont réitéré sans ambages, la position de reconnaissance de la souveraineté marocaine sur le Sahara. C’est une réaffirmation exprimée à la Maison Blanche lors de la visite du ministre des affaires étrangères du Maroc pour rencontrer son homologue américain. Cette décision, initiée déjà par le décret présidentiel par le chef d’Etat de la première puissance mondiale, en décembre 2020, renforce fortement le dossier de la cause nationale du pays et appuie le plan d’autonomie, présenté au Conseil de Sécurité de l’ONU en 2007 par le royaume. S’adjuger une telle confirmation de la part d’une nation influente sur la planète au côté d’autres forces aussi agissants, notamment la France et l’Espagne n’est nullement insignifiant sur la scène internationale. C’est bel et bien une preuve incontestable de la justesse de la thèse de notre pays dont le foisonnement de ralliement à cette vérité irréfutable ne fait que s’intensifier au fil du temps. A la différence de cette unanimité du bien-fondé de l’intégrité territoriale du Maroc, la junte d’Alger s’acharne à nager à contre-courant, à brandir la hache de guerre contre son voisin et s’opposer à la liberté de s’exprimer des nations approbatrices vis-à-vis de la véracité du dossier de notre pays. Après avoir énergiquement blâmé tous les pays qui ont manifesté haut et fort leur adhésion à la cause marocaine, allant même à convoquer leur ambassadeur respectif et médire leurs attitudes, en revanche, les caporaux se sont timidement contentés d’émettre des regrets à l’égard de la récente réaffirmation du Secrétaire d’Etat américain. Il ne fait donc pas de doute que la conduite des gouvernants algériens aussi basse que déloyale, souffre de prémisses pathologiques qui lui font perdre le nord. De même, l’isolement du régime algérien, de plus en plus croissant est en passe d’intensifier leur rage et leur rancœur envers leur ennemi juré qu’est le Maroc. Au fur et à mesure que le dossier effleure le dénouement, il s’enrage à mort, au lieu de s’occuper du peuple algérien à bout de souffle, ridiculisé par la folie et l’obstination maladive de la soldatesque. Tandis que le pouvoir du palais El Mouradia s’embourbe dans la mare de la colère, le Maroc urbanise les provinces récupérées et en fait des métropoles de haute facture, mais aussi un lieu diplomatique dont regorgent les représentations consulaires de tous bords. Cela enrage encore davantage les militaristes d’Alger en désarroi constant !