Le PPS vient de clore, en apothéose, les travaux de son dixième congrès national. Contrairement aux ragots pernicieux des scélérats de la basse politique, cette nouvelle symbiose dont a encore fait preuve le parti du livre, a littéralement crevé l’écran et coiffé au poteau tous ces vils bobards.
Les coups durs assénés à cette entité pour tenter de faire fléchir sa communion autour des valeurs de principe, notamment son autonomie et son unité, n’ont fait, en fin de compte, que raffermir ses rangs et fortifier ses convictions. En fait, on peut toujours « invectiver » son affectif aussi bien au législatif qu’à l’exécutif, car ces manœuvres ne dépendent pas de sa volonté, mais on ne saurait jamais oser fulminer sa « cuisine » interne !
Le PPS vient alors de reconduire, haut la main, son Secrétaire Général, dans la transparence et l’allégresse. Une beau moment de liesse, une belle leçon d’esprit de synergie, un bel exercice de démocratie interne et, enfin, une belle charge de reconnaissance pour un leader imperturbable, malgré la cruauté du sort. Le PPS vient de réussir et de fêter ses noces militantes, dans l’euphorie certes, mais surtout dans l’engagement total à reproduire une action revigorée au service des causes suprêmes du peuple démuni et opprimé. Il le fait savoir, sans ambages, à travers son slogan brandi, haut et fort, à savoir, « nouveau souffle démocratique ! ».
Désormais, on comptera, comme on l’a fait par le passé, sur le produit idéel du PPS, remanié et repensé sur la base de la continuité idéologique, dans ses thèses adoptées à l’unanimité, pour contribuer sensiblement au dénouement de la conjoncture actuelle. Il aura à s’impliquer le plus honnêtement du monde, tel qu’il l’a constamment essayé, à faire de son mieux en vue de renforcer et libérer l’action partisane de la maîtrise à distance et de la dépendance décisionnelle. Il s’attellera sans répit, à bannir les disparités sociales et proscrire les inégalités territoriales… Le PPS saura, sans doute, influer positivement, avec la même ferveur et détermination, la phase transitoire que le pays traverse non sans entraves, au niveau de sa première cause nationale, son essor multiforme, sa stabilité incontestable son avenir quiet et meilleur.