Communiqué bureau politique du PPS du 06 mai 2024

Au début de sa réunion, lundi 6 mai 2024, le bureau politique du Parti du Progrès et du Socialisme a réitéré sa ferme condamnation de la poursuite par l’entité sioniste des crimes de sa sale guerre contre le peuple palestinien à Gaza, dans un mépris insolent au monde.

Le Parti du Progrès et du Socialisme dénonce les menaces sionistes persistantes de lancer une attaque terrestre sur Rafah, dans une course ignoble et criminelle visant à détruire tout ce qui reste avant de parvenir à toute solution négociée, ce qui est susceptible de conduire à un véritable génocide et à une catastrophe humanitaire sans précédent.

Le Parti du Progrès et du Socialisme réitère son appel à la communauté internationale et aux pays arabes d’entreprendre des actions efficaces et rapides afin d’imposer la cessation de l’agression sioniste odieuse contre Gaza.

Le Parti du Progrès et du Socialisme adresse également ses plus hautes salutations aux mouvements étudiants aux États-Unis d’Amérique et dans certains autres pays occidentaux, pour les manifestations, les sit-in de protestation et de solidarité massifs soutenant les droits du peuple palestinien.

Le parti considère que cette dynamique internationale de solidarité avec la cause palestinienne, qui rappelle des moments historiques de lutte et des étapes glorieuses de solidarité, suscite l’espoir de dévoiler la nature criminelle de l’entité sioniste et de soutenir le peuple palestinien pour réaliser sa libération nationale de l’occupation et de l’agression.

Le bilan d’étape du gouvernement sous le signe de l’échec face aux différents défis

D’autre part, le bureau politique a abordé le bilan d’étape du gouvernement à la lumière de l’exposé présenté par son chef devant le Parlement.

À cet égard, il a examiné les axes et les contenus de l’intervention du groupe parlementaire lors de la séance plénière consacrée à la discussion de ce bilan à la Chambre des représentants, ainsi que du projet de mémorandum détaillé pertinent du parti, basé sur une approche critique objective qui relève les rares points positifs et met en évidence les nombreuses lacunes qui ont marqué l’action du gouvernement durant toute la première période de son mi-mandat, en ce sens que l’ensemble des indicateurs et des données montrent l’incapacité du gouvernement à faire face aux défis politiques, économiques et sociaux, ainsi que son échec à répondre aux attentes des citoyennes et des citoyens dans divers domaines, et à satisfaire les besoins du tissu économique national.