Encore une fois, la coalition anti-marocaine a essuyé un cinglant revers. Tentant des moyens les plus abjects, ce ramassis hostile se heurte, à chaque fois, à des écueils humiliants.
Après maintes turpitudes rancunières de certaines mouvances, les instances judiciaires européennes a fini par répudier les rancœurs de la déraison.
En effet, la cour de la justice de l’union européenne (CJUN) a retrouvé le chemin de la raison, en procédant, mercredi dernier, à l’irrecevabilité de l’arrêt de son verdict du 10 décembre 2015, ayant déjà conclu la résiliation partielle de l’accord agricole entre le royaume du Maroc et l’union européenne.
Après cette mesure unilatérale, notre pays, rappelons-le, avait, ipso facto, rompu tout rapport avec son vis-à-vis du vieux continent, en attendant que cette situation litigieuse s’apaise pour la réciprocité des relations économiques des partenaires privilégiés.
Dans ce sens, on se souviendra aussi que nombres de pays associés soutenaient la thèse marocaine, s’appuyant sur des donnes avérées, fondées sur la crédibilité et la confiance. C’est ainsi que les ennemis de la cause nationale qui continuent toujours à baigner dans le marais de l’antipathie, se sont plié l’échine de la honte.
Cependant, ce n’est que partie remise car cette inimitié n’est pas du tout prédisposée à lâcher prise. Tant que les animosités nationalistes de l’extrême droite se prolifèrent dans les rouages des destinées de l’Europe.
A ce effet, la diplomatie marocaine, loin de se cantonner dans un satisfecit démesuré, est amenée a se prémunir de vigilance constance afin de déjouer toutes les manœuvres de ces adversaires récidivistes. L’incident du 10 décembre 2015 qui coïncide avec la journée mondiale de l’annonce des droits de l’homme, pourrait toujours réapparaitre parmi cet engrenage européen, facilement manipulés par des slogans séparatistes, quoiqu’ils ne soient guère en mesure de tenir tête aux arguments solides de notre pays.
Les ennemis de la question de l’intégrité territoriale assènent, une fois n’est pas coutume, les échecs un à un, grâce justement à la solidité des positions et des initiatives marocaines. Cette nouvelle déconvenue provenant des assises européennes de Bruxelles, vient, en fait, prendre place dans la lignée de la panoplie des déboires dont la tournée porteuse du souverain en Afrique de l’est avait foncièrement enfoncé dans le gouffre de la dérision.
Après ce nouveau jugement qui conforte la position de choix, au niveau des hautes institutions judiciaires européennes, les relations connaîtront la reprise dans une ambiance de respect mutuel.