non respect des engagements pris lors de la réunion du 2 octobre 2013. Il était question, selon la même source, d’organiser conjointement des «ateliers de travail pour discuter et trouver des solutions constructives et structurelles à la crise que vivent les agents d’assurances.» L’ordre du jour de cette assemblée générale extraordinaire, précise le même communiqué, est de réunir les agents afin qu’ils prennent ensemble la ou les décisions qui s’imposent pour sauver la profession.

Maroc Numeric Cluster annonce l’organisation des trophées de l’innovation 2013, en marge du Salon Med-IT 2013, le Salon International des Technologies de l’Information, qui se tiendra du 19 au 21 novembre au parc d’exposition de l’Office des changes de Casablanca.  « Les trophées de l’innovation » est un concours qui consacre les meilleures innovations IT de l’année 2013. Il s’agit de mettre en lumière de jeunes talents ayant lancé une innovation majeure dans le domaine des technologies de l’information, laquelle innovation est promise à une forte croissance permettant de parier sur un développement rapide. Pour Maroc Numeric Cluster, l’objectif principal est d’identifier les entreprises à forte valeur ajoutée pour les accompagner dans la valorisation de leurs innovations au niveau national et international. Les compétiteurs seront soumis à l’appréciation d’un jury d’experts polyvalents. Le jury, composé de 7 experts, sera représentatif de l’écosystème d’innovation marocain.

Une salle des marchés financiers à fins pédagogiques a été inaugurée mardi au sein de l’Université Mundiapolis, en vue d’améliorer les connaissances des étudiants en matière de trading. Réalisée en partenariat avec la Bourse de Casablanca, cette salle des marchés, installée au niveau du campus, a été créée dans le but d’aider les étudiants à mieux assimiler et conceptualiser les risques et les opportunités du trading et de l’investissement en Bourse.  Elle est équipée d’un système pouvant simuler la négociation et la réalisation de transactions sur différents types d’actifs et diffuser un set diversifié d’informations financières et économiques à l’échelle internationale. Pour le président de l’université Mundiapolis, Amine Bensaid, cette initiative devrait permettre aux jeunes étudiants de « s’approcher davantage des pratiques concrètes sur les marchés financiers, et apporter d’importants outils et compétences au niveau de l’analyse financière ».

L’Organisation islamique pour l’éducation, les sciences et la culture (ISESCO) organise, le 24 et 25 octobre à Rabat, une réunion des experts sur les questions de la population. Cette réunion intervient dans le cadre de l’organisation de la Conférence internationale sur la population et le développement prévue au Caire en 2014 et qui s’inscrit dans le cadre d’une série de conférences relatives à la population et au développement tenues à Bucarest (1974), New Mexico (1984) et le Caire (1994), indique un communiqué de l’ISESCO. La rencontre ambitionne de contribuer à la mise en place d’une approche islamique concernant les questions se rapportant à l’égalité entre les genres, la santé sexuelle et reproductive, les problématiques des jeunes et des adolescents, la concertation entre les experts des institutions islamiques et les pays membres et l’échange des informations concernant les aspects relatifs au développement humain, ajoute la même source.

Selon Financial Afrik, citant les dernières estimations du magazine américain Forbes, 20 milliardaires en dollars sont aujourd’hui domiciliés sur le continent. Ils étaient 14 en 2011… et 3 seulement en 2000. Des individus qui constituent aujourd’hui le visage (Dangote, Motsepe, Sawiris, Sefrioui…) de la réussite extraordinaire que peut offrir le continent. Qui sont-ils ? Où vivent-ils ? Comment ont-ils fait fortune ? Autant de questions qui ont poussé le journal Financial Afrik  dans un très élitiste univers. Sur les 54 pays que compte le continent, les 20 milliardaires africains énumérés par Forbes se répartissent entre 6 d’entre eux seulement : L’Egypte (7), l’Afrique du Sud (4), le Maroc (3), le Nigeria (2), l’Angola (1) et même l’improbable Swaziland (1). Aujourd’hui, les derniers arrivés marocains de la liste (Benjelloun, Chaabi) sont plutôt actifs dans les secteurs financiers et immobiliers. Quant à Aliko Dangote, première fortune du continent avec 20 milliards de $, il a initialement percé grâce à l’importation de ciment, avant d’ériger un puissant empire agroalimentaire (sucre, farine…).