Niet …
En accusant des citoyens marocains de mécréants et d’impies, et en les apostasiant pour inciter à la haine contre eux et porter atteinte à leurs dignité et honneur, ladite vidéo s’érige en un terreau fertile pour la violence.
Il ne fait pas de doute que cet enregistrement constitue un crime, qui ne doit pas passer inaperçu. Une enquête doit être ouverte à ce sujet pour engager des poursuites à l’encontre des auteurs de cet acte condamné par la loi au Maroc et ailleurs.
La diffusion et la rediffusion de cet enregistrement incitant à la haine et la violence et faisant l’apologie de crimes contre des personnes innocentes, en violation de la loi et des règles de déontologie, portent atteinte aux droits humains. C’est pourquoi la vigilance doit être de mise au sein de notre profession.
Abstraction faite des idées et opinions des personnalités prises pour cibles par la vidéo, personne n’a le droit de leur refuser la liberté de s’exprimer ou de les diaboliser pour avoir défendu telle ou telle position. C’est là le sens de l’œuvre démocratique en cours d’édification dans le pays.
Une telle tendance à apostasier, à inciter à la haine contre des personnes et à bafouer leurs droits et dignité doit être fermement combattue par tous les défenseurs des droits humains et de la liberté de pensée dans notre pays. L’enjeu est de taille car il s’agit de défendre le modèle démocratique marocain.
Il est donc impératif de promouvoir davantage les valeurs de coexistence, de cohabitation, de tolérance, d’acceptation d’autrui, de la diversité, de la démocratie, de l’égalité et de l’ouverture pour vaincre les tendances obscurantistes et la culture de la haine, et ce avec la participation de toutes les composantes de la société et en particulier des forces politiques, des organisations culturelles, artistiques et syndicales et des défenseurs des droits humains et des organisations des femmes, des médias, des penseurs, des intellectuels et des acteurs dans le champ religieux. C’est l’avenir du pays et sa stabilité qui sont en jeu et qu’il va falloir préserver.
Il ne fait pas de doute que cet enregistrement constitue un crime, qui ne doit pas passer inaperçu. Une enquête doit être ouverte à ce sujet pour engager des poursuites à l’encontre des auteurs de cet acte condamné par la loi au Maroc et ailleurs.
La diffusion et la rediffusion de cet enregistrement incitant à la haine et la violence et faisant l’apologie de crimes contre des personnes innocentes, en violation de la loi et des règles de déontologie, portent atteinte aux droits humains. C’est pourquoi la vigilance doit être de mise au sein de notre profession.
Abstraction faite des idées et opinions des personnalités prises pour cibles par la vidéo, personne n’a le droit de leur refuser la liberté de s’exprimer ou de les diaboliser pour avoir défendu telle ou telle position. C’est là le sens de l’œuvre démocratique en cours d’édification dans le pays.
Une telle tendance à apostasier, à inciter à la haine contre des personnes et à bafouer leurs droits et dignité doit être fermement combattue par tous les défenseurs des droits humains et de la liberté de pensée dans notre pays. L’enjeu est de taille car il s’agit de défendre le modèle démocratique marocain.
Il est donc impératif de promouvoir davantage les valeurs de coexistence, de cohabitation, de tolérance, d’acceptation d’autrui, de la diversité, de la démocratie, de l’égalité et de l’ouverture pour vaincre les tendances obscurantistes et la culture de la haine, et ce avec la participation de toutes les composantes de la société et en particulier des forces politiques, des organisations culturelles, artistiques et syndicales et des défenseurs des droits humains et des organisations des femmes, des médias, des penseurs, des intellectuels et des acteurs dans le champ religieux. C’est l’avenir du pays et sa stabilité qui sont en jeu et qu’il va falloir préserver.
