Un effort indéniable de la recherche scientifique est consenti pour la préservation de cet arbre séculaire, connu pour ses qualités incommensurables, aussi bien par les intervenants qu’étrangers.
Les ressources incontestables de cette plante aux grands apports sur le plan de l’écosystème et de la biosphère n’est un secret pour personne. L’historique de l’arganeraie à travers des décennies, a traversé des étapes de renforcement, durant lesquelles il était question d’évaluation, de suivi et de programmation pour accompagner son évolution, tout en consolidant le maintien et la valorisation de cet arbre emblématique.
Il est à évoquer également les dangers qui guettent cet arbre, par les agressions et les arrachements de toutes parts dont il fait constamment l’objet, tout en sachant que l’arganier permet la pérennité du couvert végétal. La recherche scientifique vise à assurer le maintien de cet arbre et son évolution sur des bases scientifiques et méthodiques. L’adéquation des projets avec l’écologie, en somme ! Il est donc impératif d’assumer toutes les responsabilités au niveau du développement de l’espace et l’organisation des unités de production.
Il faut dire enfin que l’approfondissement de la recherche scientifique inhérente à la préservation de l’arganier est devenu, de plus en plus nécessaire. Il est à indiquer que des conventions ont été passées entre le département de tutelle et les divers partenaires, dans ce sens.
L’arganier n’est plus un arbre naturel qui se meut à la traîne, mais bel et bien un patrimoine universel soumis, désormais à des recherches d’envergure pour sa préservation et son amélioration.