Si les acteurs non-étatiques sont de plus en plus conscients de leur rôle dans l’adaptation aux enjeux climatiques, plusieurs, sinon la majorité, butent à un obstacle titanesque : l’accès au financement. Dans cet échiquier, les acteurs locaux africains semblent les plus vulnérables. Leur accès au financement est le plus faible. Pour les intervenants à la plénière…